La fraîcheur règne, sous l’auvent de tuiles vertes.
Un peu de jour fait luire, au flanc mouillé du mur,
La brique rose et la faïence aux tons d’azur
D’où l’eau jaillit en quatre courbes argentines.
Pour le repos du pèlerin et du meskine.
Viens t’appuyer à cette vasque de granit.
Qu’un toit protège et que tout voyageur bénit.
Tu vas pouvoir laver tes mains, ta face noire,
Sans déranger les pigeons blancs qui viennent boire.
Viens, la douceur de ces murmures cristallins
Fait oublier toutes les pierres du chemin
Marie Barrère-Affre
C'est bien
RépondreSupprimerC'est bien
RépondreSupprimerJe veux un commentaire sur cette poème
RépondreSupprimerc'est un beau poéme MAROCAIN
RépondreSupprimeroui..................
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