vendredi 3 février 2012

Placer un enfant. Pour quelles raisons ?

« Séparer un enfant de ses parents est un acte grave, l’un des plus graves qu’une société puisse demander d’effectuer à ses représentants », rappelle le Pr Berger. Pourtant cette séparation peut s’avérer inévitable, dans l’intérêt même de l’enfant. Enquête sur les motifs de placement en ce début de XXI e siècle.



En France, le secteur de la protection de l’enfance est organisé autour de la distinction entre les situations de « danger » pour la santé, la moralité et l’éducation de l’enfant, ce qui amène à des mesures judiciaires (placement direct après décision du juge des enfants) et les situations de « risques de danger », qui débouchent sur une prise en charge administrative (placement par un inspecteur de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) en concertation avec les parents). Dans les faits, les enfants et les jeunes sont confiés aux mêmes établissements. Neuf fois sur dix, le placement des enfants de moins de 18 ans relève d’une décision judiciaire, tandis que pour les jeunes majeurs, il s’agit à 95 % de mesures administratives ou, très marginalement, de décisions de la Direction de la protection judiciaire de la jeunesse. Après un pic constaté au début des années 2000, le nombre de placements s’est stabilisé au dessous de 150 000 depuis quelques années. Carence ou maltraitance ?Aux XVIII et XIXe siècle, c’est par dizaine de milliers que les familles abandonnaient leurs enfants. En cause, la pauvreté extrême. A la fin du XIXe siècle, quelques affaires retentissantes font prendre conscience de la maltraitance infligée par certains parents indignes. « On s’inquiète du fait que la famille naturelle puisse être potentiellement dangereuse », note l’historienne et démographe Catherine Rollet. Aujourd’hui, pour quels motifs place-t-on les enfants ? Les carences éducatives, les difficultés psychologiques ou psychiatriques des parents, les conflits familiaux, l’alcoolisme ou la toxicomanie d’un ou des deux parents, la maltraitance (violence physique ou psychologique, inceste, abus sexuels, absence et négligence de soins...) sont les cinq raisons prépondérantes d’une décision d’accueil ou de placement, constatait le rapport Naves-Cathala(1). Les enfants placés sont souvent issus de familles qui connaissent beaucoup de difficultés. « Une grande majorité de parents maltraitants souffrent de troubles psychologiques, de carences affectives et ont eux-mêmes été victimes de violences physiques ou morales. De plus, une majorité de parents concernés par les situations de placement connaissent des situations précaires, en termes de logement et d’emploi », observe Benjamin Dénechau, du département des sciences de l’éducation de l’Université de Bordeaux 2 (2).S’il est très difficile de disposer de statistiques à l’échelle du pays sur les raisons qui ont amené à placer les enfants, une enquête réalisée dans le département des Yvelines sur 541 enfants apporte quelques éclairages. Le risque éducatif et les carences éducatives sont évoqués pour trois enfants sur quatre, le risque pour la santé psychologique de l’enfant, pour 43 % des enfants, le risque de mise en insécurité dans 35 % des cas. Pour un enfant sur trois, les conflits de couples ou les problèmes psychopathologiques des parents sont à l’origine de la mesure de placement. Enfin, les personnes à la source du risque sont d’abord des membres de la famille (cité dans 86 % des cas) et dans une moindre mesure, l’enfant lui-même (17 %).
Placer un enfant. Pour quelles raisons ?


« Séparer un enfant de ses parents est un acte grave, l’un des plus graves qu’une société puisse demander d’effectuer à ses représentants », rappelle le Pr Berger. Pourtant cette séparation peut s’avérer inévitable, dans l’intérêt même de l’enfant. Enquête sur les motifs de placement en ce début de XXI e siècle.



En France, le secteur de la protection de l’enfance est organisé autour de la distinction entre les situations de « danger » pour la santé, la moralité et l’éducation de l’enfant, ce qui amène à des mesures judiciaires (placement direct après décision du juge des enfants) et les situations de « risques de danger », qui débouchent sur une prise en charge administrative (placement par un inspecteur de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) en concertation avec les parents). Dans les faits, les enfants et les jeunes sont confiés aux mêmes établissements. Neuf fois sur dix, le placement des enfants de moins de 18 ans relève d’une décision judiciaire, tandis que pour les jeunes majeurs, il s’agit à 95 % de mesures administratives ou, très marginalement, de décisions de la Direction de la protection judiciaire de la jeunesse. Après un pic constaté au début des années 2000, le nombre de placements s’est stabilisé au dessous de 150 000 depuis quelques années. Carence ou maltraitance ?Aux XVIII et XIXe siècle, c’est par dizaine de milliers que les familles abandonnaient leurs enfants. En cause, la pauvreté extrême. A la fin du XIXe siècle, quelques affaires retentissantes font prendre conscience de la maltraitance infligée par certains parents indignes. « On s’inquiète du fait que la famille naturelle puisse être potentiellement dangereuse », note l’historienne et démographe Catherine Rollet. Aujourd’hui, pour quels motifs place-t-on les enfants ? Les carences éducatives, les difficultés psychologiques ou psychiatriques des parents, les conflits familiaux, l’alcoolisme ou la toxicomanie d’un ou des deux parents, la maltraitance (violence physique ou psychologique, inceste, abus sexuels, absence et négligence de soins...) sont les cinq raisons prépondérantes d’une décision d’accueil ou de placement, constatait le rapport Naves-Cathala(1). Les enfants placés sont souvent issus de familles qui connaissent beaucoup de difficultés. « Une grande majorité de parents maltraitants souffrent de troubles psychologiques, de carences affectives et ont eux-mêmes été victimes de violences physiques ou morales. De plus, une majorité de parents concernés par les situations de placement connaissent des situations précaires, en termes de logement et d’emploi », observe Benjamin Dénechau, du département des sciences de l’éducation de l’Université de Bordeaux 2 (2).S’il est très difficile de disposer de statistiques à l’échelle du pays sur les raisons qui ont amené à placer les enfants, une enquête réalisée dans le département des Yvelines sur 541 enfants apporte quelques éclairages. Le risque éducatif et les carences éducatives sont évoqués pour trois enfants sur quatre, le risque pour la santé psychologique de l’enfant, pour 43 % des enfants, le risque de mise en insécurité dans 35 % des cas. Pour un enfant sur trois, les conflits de couples ou les problèmes psychopathologiques des parents sont à l’origine de la mesure de placement. Enfin, les personnes à la source du risque sont d’abord des membres de la famille (cité dans 86 % des cas) et dans une moindre mesure, l’enfant lui-même (17 %).Des conséquences psychologiques et intellectuel les« Il est nécessaire de s’entendre sur les notions de maltraitance et de carences, pour limiter la polémique, relève Philippe Fabry, formateur à l’Institut régional de travail social de Paris Ile-de-France. Les deux ont des effets très comparables : un jeune enfant abandonné peut montrer les mêmes signes qu’un enfant maltraité sexuellement. Par ailleurs, ces deux notions peuvent être les deux faces d’une même incapacité d’un parent à contrôler ses actes. » Et à agir en adulte protecteur. « Les chiffres ne manquent pas sur le nombre d’enfants en situation de risque ou de danger, mais rien n’existe sur l’état des enfants », s’insurge le Pr Maurice Berger, chef de service en psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint Etienne. Il relève que parmi les enfants confiés à la protection de l’enfance et accueillis dans son service, près de huit patients sur dix souffrent d’une déficience intellectuelle, mais que celle-ci n’a le plus souvent pas été évaluée. Et il dresse ce constat alarmant : « Les redoublements répétés et l’échec scolaire suivis d’une orientation vers l’éducation spécialisée sont envisagés comme une fatalité. Un nombre important d’enfants manifestent une violence rare rendant impossible leur insertion dans un groupe. Enfin un nombre important d’enfants présentent des troubles psychiatriques. » Selon lui, ce n’est pas le développement intellectuel et affectif qui est au centre des préoccupations, mais la protection du concept de la famille, reposant sur une certaine idéologie du lien familial.Protéger dans la duréeDans ces circonstances, les structures d’accueil sont confrontées à des situations de plus en plus délicates. Le placement vécu comme une injustice, le fantasme du parent absent (aussi maltraitant ou négligent soit-il, c’est avec lui que l’enfant a construit ses premiers repères) peuvent rendre les enfants extrêmement violents contre eux-mêmes, contre les adultes qui suppléent à la fonction parentale, contre les autres d’une façon général. Selon le Pr Berger, « il existe deux dangers pour l’enfant : celui d’être soumis à des parents négligents, maltraitants, délirants, et celui de n’avoir à disposition aucun lien stables lui permettant de construire sa personnalité. » Suffit-il de confier un enfant à une institution pour le protéger ? « L’enfant a besoin d’établir un lien stable avec un adulte stable qui offre une figure parentale de référence. Comment l’envisager alors même que la loi impose que les décisions de placement soient révisées au maximum tous les deux ans ? » Ce que souligne la directrice d’établissement d’accueil : « la commande sociale voudrait que les placements aboutissent rapidement à un retour. Alors que paradoxalement, il y a nécessité de soin et de temps pour obtenir les chances d’un hypothétique retour. »

Une cantatrice pour les enfants de la Fondation

Jeudi 26 janvier 2012, la cantatrice de renommée mondiale, June Anderson, a produit un récital à l'Arsenal de Metz au profit de la Fondation MVE. Des enfants de la Fondation étaient présents pour assister à ce concert exceptionnel.


Coline Opéra, projet du Fonds de dotation Coline pour l'Enfance, a organisé un exceptionnel récital de June Anderson à Metz le 26 janvier, dans la splendide salle de l'Arsenal. En venant assister à ce récital d'exception, l'ensemble des spectateurs ont soutenu la Fondation MVE.Les enfants de la Fondation ont bénéficié d'un accueil privilégié afin de leur expliquer à quoi ils allaient assister et dans quel cadre. Précisions indispensables pour bien comprendre et profiter d'un tel événement.
June Anderson fait partie du cercle très restreint d’artistes dont le nom suscite une admiration sans réserve. Sa technique exemplaire et sa virtuosité la font reconnaitre « Reine du belcanto ». Et la reine a accepté de venir rencontrer les enfants de la Fondation venus la voir ce soir là après son récital. Quelques échanges, quelques mots d'admiration et quelques autographes ont achevé de conquérir le coeur de ces nouveaux admirateurs en herbe.

Témoignages à chaud : "J’ai eu des frissons pendant le premier acte." "Elle est trop gentille d’être venue nous voir, en plus elle est trop belle."

La Fondation MVE remercie chaleureusement Coline Opéra, Le personnel de l'Arsenal de Metz et June Anderson d'avoir permis aux enfants et à ceux qui les accompagnaient de vivre une soirée exceptionnelle. Ce fut un moment unique pour tous.

6 février : Journée Mondiale sans téléphone mobile

Phil Marso, écrivain indépendant et instigateur de ce rendez-vous citoyen depuis le 6 février 2001 propose 3 jours de réflexions sur le "Mobilou", outil technologique qui a changé le comportement humain dans sa manière de communiquer... En 2003, une association écologiste a tenté de récupérer ce rendez-vous citoyen, preuve de l'intérêt croissant de cette initiative qui pouvait paraître fantaisiste au départ.En 2004, la France dépasse les 42 millions de possesseurs de téléphones mobiles. Que l'on soit pour ou contre, accro ou allergique, l'intérêt de cette journée est de pouvoir en parler... sans prothèse électronique de préférence !
Depuis 2004, cette journée se déroule sur trois jours., les 6, 7 et 8 février.. certainement pour se donner le temps de décrocher. Nous parlerons donc désormais des Journées Mondiales sans téléphone.
un peu d'histoire
Le 6 février est la date symbolique de cette journée car c'est la Saint Gaston ! Rappelez-vous ce couplet de Nino Ferrer : "Gaston y'a l'téléfon qui son, Et y'a jamais person qui y répond". Cela consiste à ne pas utiliser son téléphone portable le 6 février pour savoir quelle relation on entretient avec son appareil. Phil Marso avait publié, en octobre 1999, "Tueur de portable sans mobile apparent ", le premier polar sur le GSM. Depuis trois ans, il réclame un véritable débat de réflexion sur cet outil de communication. N'ayant pas encore été assez entendu sur le sujet, il publiera en janvier 2004 un second ouvrage "Mobilou " (Edition Megacom-ik) présentant une série de sondages humoristiques sur tous les aspects du téléphone portable (comportement, SMS, précaution de santé, antennes-relais, flicage…), prétexte pour lancer le débat durant ces trois jours. Faites en sorte d’être injoignable... 100 % libre de vos mouvements sans être esclave de votre Mobilou.

4 février : Journée Mondiale contre le cancer

Le cancer constitue encore aujourd'hui la première cause de mortalité dans le monde, bien avant les guerres et autres catastrophes naturelles. Il fait beaucoup moins parler de lui, mais il tue. Pourtant, il se soigne et l'intérêt de cette journée est aussi de faire prendre conscience de l'utilité d'un dépistage précoce permettant d'arriver à une guérison.
L'OMS estime que le cancer aura fait 84 millions de morts entre 2005 et 2015 si aucune mesure n’est prise. C'est pour cette raison que des moyens importants sont mis en oeuvre dans le but de faire reculer le poids de cette maladie partout dans le monde.
Une initiative intéressante a été prise par l'ARC récemment, à savoir la création d'un site internet entièrement dédié au cancer et permettant aux internautes de trouver des réponses à leur questions : www.arc-cancer.net
Les différentes régions du globe ne sont pas à égalité devant le cancer et si l'hémisphère nord bénéficie de moyens importants dans la détection et le tratiement des cancers, les pays du sud, comme à l'accoutimé ne bénéficient pas de telles attentions. Un dossier très documenté est disponible dans le site Notre Planète Info (lien ci-dessous).

27 janvier : Journée de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité

"La France a retenu la date du 27 janvier, anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz, pour cette journée de la mémoire.[...] Cette journée de la mémoire devra faire prendre conscience que le mal absolu existe et que le relativisme n’est pas compatible avec les valeurs de la République. En même temps, il faut montrer que l’horreur s’inscrit dans une histoire qu’il convient d’approcher avec méthode, sans dérive ni erreur. Ainsi appartient-il à notre institution de faire réfléchir les élèves à l’Europe du XXème siècle, avec ses guerres et ses tragédies, mais aussi à ses tentatives de synthèse autour des valeurs des droits de l’homme et à sa marche vers l’unité. Il est nécessaire de montrer aux jeunes que ces valeurs ne sont pas de simples mots. Leur respect dans tous les pays du monde est fondamental et nécessite de la part de chacun d’être attentif à ce qui menace ces valeurs et actif pour les défendre." B.O. n°46 du 11 décembre 2003 : www.education.gouv.frNous avons recueilli pour vous quelques extraits de textes qui nous ont paru particulièrement "éclairants" sur le sujet"Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l'oubli" (Elie Wiesel)"(...) Nous célébrons la "Journée de la mémoire de l'holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité". Une mémoire qui repose sur les témoignages des acteurs et sur les travaux des historiens. Une mémoire d'autant plus vive, paradoxalement, que les survivants disparaissent, ayant à cœur, s'ils ne l'ont déjà fait, de transmettre aux générations nouvelles ce que, bien souvent, si longtemps, ils ont eu tant de peine à exprimer : "Il est dur pour la langue de prononcer de tels mots, pour l'esprit d'en comprendre le sens, de les écrire sur le papier" (Abraham Lewin). Une mémoire d'autant plus précise que les historiens - et notamment alsaciens - accèdent à de nouvelles archives, affinent nos connaissances - par exemple sur le camp du Struthof - et s'efforcent d'expliquer ce qui semble parfois échapper à la raison.Prévention des crimes contre l'humanité en même temps que mémoire de la Shoah, cette journée a également pour but d'intégrer à ce travail de mémoire toutes les victimes des crimes contre l'humanité. Et d'abord, pour en revenir aux victimes de la terreur nazie, outre les communautés juives d'Europe, qui en forment la majeure partie, les populations tziganes ou encore les malades mentaux.Ce devoir de mémoire, et de prévention est plus actuel que jamais. Aujourd'hui comme hier, aujourd'hui comme demain, aucune forme de racisme et d'antisémitisme quelle qu'elle soit ne saurait être tolérée. Et pourtant des faits récents perpétrés contre la communauté juive de Strasbourg nous rappellent qu'il faut rester vigilants..Une vigilance qui souligne que l'enjeu de la commémoration de la libération du camp d'Auschwitz, camp de concentration et " centre de mise à mort " (Raul Hilberg), ne concerne pas que les bourreaux et leurs victimes juives. Elle est le lieu de mémoire commun d'une mémoire européenne qui ne cesse de se constituer et l'horizon d'une humanité fondée sur la justice, la paix et la tolérance.Gérald CHAIX, Recteur de l'Académie de Strasbourg

8 mars : Journée Mondiale de la Femme

La Journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Elle est également célébrée à l’ONU et, dans de nombreux pays, c’est un jour de fête nationale. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur Journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière, qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et le développement.La Journée internationale de la femme est l’histoire de femmes ordinaires qui ont fait l’histoire; elle puise ses racines dans la lutte que mènent les femmes depuis des siècles pour participer à la société sur un pied d’égalité avec les hommes. Dans l’antiquité grecque, Lysistrata a lancé une « grève sexuelle » contre les hommes pour mettre fin à la guerre; pendant la Révolution française, des Parisiennes demandant « liberté, égalité, fraternité » ont marché sur Versailles pour exiger le suffrage des femmes.L’idée d’une Journée internationale de la femme s’est au tout début fait jour au tournant du XIXe et du XXe siècles, période caractérisée dans le monde industrialisé par l’expansion et l’effervescence, une croissance démographique explosive et des idéologies radicales.Chronologie des événements les plus marquants1909 / Conformément à une déclaration du Parti socialiste américain, la première Journée nationale de la femme a été célébrée sur l’ensemble du territoire des États-Unis le 28 février. Les femmes ont continué à célébrer cette journée le dernier dimanche de février jusqu’en 1913.1910/ L’Internationale socialiste réunie à Copenhague a instauré une Journée de la femme, de caractère international, pour rendre hommage au mouvement en faveur des droits des femmes et pour aider à obtenir le suffrage universel des femmes. La proposition a été approuvée à l’unanimité par la conférence qui comprenait plus de 100 femmes venant de 17 pays, dont les trois premières femmes élues au Parlement finlandais. Aucune date précise n’a été fixée pour cette célébration.1911/ À la suite de la décision prise à Copenhague l’année précédente, la Journée internationale de la femme a été célébrée pour la première fois, le 19 mars, en Allemagne, en Autriche, au Danemark et en Suisse, où plus d’un million de femmes et d’hommes ont assisté à des rassemblements. Outre le droit de voter et d’exercer une fonction publique, elles exigeaient le droit au travail, à la formation professionnelle, et la cessation de la discrimination sur le lieu de travail.Moins d’une semaine après, le 25 mars, le tragique incendie de l’atelier Triangle à New York a coûté la vie à plus de 140 ouvrières, pour la plupart des immigrantes italiennes et juives. Cet événement a eu une forte influence sur la législation du travail aux États-Unis, et l’on a évoqué les conditions de travail qui avaient amené cette catastrophe au cours des célébrations subséquentes de la Journée internationale de la femme.1913-1914/ Dans le cadre du mouvement pacifiste qui fermentait à la veille de la Première Guerre mondiale, les femmes russes ont célébré leur première Journée internationale de la femme le dernier dimanche de février 1913. Dans les autres pays d’Europe, le 8 mars ou à un ou deux jours de cette date, les femmes ont tenu des rassemblements soit pour protester contre la guerre, soit pour exprimer leur solidarité avec leurs soeurs.1917/ Deux millions de soldats russes ayant été tués pendant la guerre, les femmes russes ont de nouveau choisi le dernier dimanche de février pour faire la grève pour obtenir « du pain et la paix ». Les dirigeants politiques se sont élevés contre la date choisie pour cette grève, mais les femmes ont passé outre. Le reste se trouve dans les livres d’histoire : quatre jours plus tard, le tsar a été obligé d’abdiquer et le gouvernement provisoire a accordé le droit de vote aux femmes. Ce dimanche historique tombait le 23 février dans le calendrier julien qui était alors en usage en Russie, mais le 8 mars dans le calendrier géorgien utilisé ailleurs.Depuis ces premières années, la Journée internationale de la femme a pris une nouvelle dimension mondiale dans les pays développés comme dans les pays en développement. Le mouvement féministe en plein essor, qui avait été renforcé par quatre conférences mondiales sur les femmes organisées sous l’égide de l’ONU, a aidé à faire de la célébration de cette Journée le point de ralliement des efforts coordonnés déployés pour exiger la réalisation des droits des femmes et leur participation au processus politique et économique. De plus en plus, la Journée internationale de la femme est le moment idéal pour réfléchir sur les progrès réalisés, demander des changements et célébrer les actes de courage et de détermination de femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire des droits des femmes.Le rôle des Nations UniesRares sont les causes dont l’ONU assure la promotion qui aient suscité un appui plus intense et plus vaste que la campagne menée pour promouvoir et protéger l’égalité des droits des femmes. La Charte des Nations Unies, signée à San Francisco en 1945, était le premier instrument international à proclamer l’égalité des sexes en tant que droit fondamental de la personne humaine. Depuis, l’Organisation a aidé à créer un patrimoine historique de stratégies, normes, programmes et objectifs convenus au plan international pour améliorer la condition de la femme dans le monde entier.Au fil des ans, l’action menée par l’ONU en faveur de la promotion de la femme a pris quatre orientations précises : promotion de mesures juridiques; mobilisation de l’opinion publique et de l’action internationale; formation et recherche, y compris compilation de statistiques ventilées par sexe; et assistance directe aux groupes désavantagés. Aujourd’hui, l’un des principes d’organisation centraux des travaux de l’ONU est qu’aucune solution durable aux problèmes sociaux, économiques et politiques les plus pressants de la société ne peut être trouvée sans la pleine participation, et la pleine autonomisation, des femmes du monde entier.

La femme en Islam

1. Aspect spirituel Le Coran énonce clairement que les hommes et les femmes sont de même nature spirituelle et humaine. Les deux ont reçu le “souffle divin” qui leur a donné de la dignité et a fait d’eux les gérants de Dieu sur la terre. La femme n’est pas blâmée pour la “chute de l’homme”. La grossesse et l’accouchement sont donnés comme des raisons supplémentaires pour aimer et apprécier les femmes et non comme punition pour “avoir mangé de l’arbre interdit”. L’homme et la femme ont des devoirs et des responsabilités comparables et les deux font face aux conséquences pour leurs décisions et de leurs actions morales. Nulle part le Coran ne mentionne que les “hommes sont supérieurs aux femmes”, à moins que le texte du Coran n’ait été pauvrement traduit en français. Le Coran indique clairement que la seule base de supériorité est la piété et la droiture, non le genre, la race, la couleur ou la richesse. 2. Aspect économique La loi islamique sauvegarde les droits des femmes avant et après le mariage. En fait, la femme reçoit une plus grande sécurité financière que l’homme. Elle a droit au plein montant de son cadeau de mariage. Elle a le droit de garder toutes les propriétés présentes ou futures et un revenu pour sa propre sécurité. Pendant ce temps, elle a droit à toute l’aide financière avant, pendant et après le mariage, sans égard à sa richesse personnelle. Les droits additionnels incluent l’aide pendant la “période d’attente” en cas de divorce et l’aide pour l’enfant. Cette aide garantie à toutes les étapes de sa vie, constitue des avantages financiers sur les hommes, équilibrés partiellement par la moindre part d’héritage qui lui revient. La femme dispose seule de l’usufruit de son travail éventuel, tandis que l’homme a le devoir d’entretenir et subvenir aux multiples besoins de sa famille.3. Aspect social 1. En tant que fille: Le Coran blâme l’attitude de certains parents qui tendent à favoriser leurs fils. Il prescrit le devoir d’aider et de montrer de la gentillesse et de la justice envers les filles.L’éducation des filles n’est pas seulement un droit mais un devoir pour tous les musulmans, hommes et femmes.Une fille a le droit d’accepter ou de rejeter des propositions de mariage. Le mariage forcé sans le consentement mutuel est invalide selon les enseignements du Prophète Mohammad (Paix et Bénédiction sur lui) . 2. En tant qu’épouse: L’opinion de l’Islam sur le mariage est exprimée dans le verset suivant du Coran: “Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous viviez en tranquillité avec elles et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté. Il y a en cela des preuves pour des gens qui réfléchissent” (Sourate 30, verset 21) La norme du mariage dans l’Islam est la monogamie. Cependant, comme plusieurs peuples et religions incluant les prophètes de la Bible, l’Islam a permis la polygamie, déjà existante (polygynie), mais il la règule et la restreint. Elle n’est ni exigée ni encouragée. L’esprit de la loi est de prendre des mesures concernant les événements imprévus des personnes et de la collectivité (par exemple, les déséquilibres créés par les guerres) et de fournir une solution morale, pratique et humaine aux veuves et aux orphelins. Ceci peut expliquer pourquoi le verset qui règle la polygamie a été révélé après la guerre d’Ohod, dans laquelle des douzaines de musulmans furent tués, laissant derrière eux des veuves et des orphelins dans le besoin. Tous les intéressés impliqués dans un mariage polygame ont des options. Une femme ne peut être forcée à devenir une seconde épouse. La première femme qui n’accepte pas une situation de polygamie a le droit de demander le divorce. La responsabilité du mari sur l’entretien, la protection et la direction de la famille, en général, dans l’esprit de la consultation et de la gentillesse, est la signification du terme coranique “Qawwamoune”(Sourate 4 v.34). Ce terme est souvent mal traduit par “qui a de l’autorité sur les femmes”. De la même façon Dieu a doté les hommes et les femmes de qualités physiologiques et autres, différentes et complémentaires mais également importantes. Ceci mène à certains rôles et devoirs différents mais complémentaires à l’intérieur de la cellule familiale. C’est ce à quoi le Coran réfère par le terme “(fad’)darâdja” (Sourate 2 v.228), souvent mal traduit comme “parce que Dieu l’a fait supérieur à l’autre”. Cette différenciation se retrouve strictement dans les rôles, non dans le statut ou l’honneur. Dans le cas d’une dispute familiale, le Coran exhorte le mari à traiter sa femme gentiment et à ne pas négliger ses côtés positifs. Si le problème est relié au comportement de la femme, son mari peut la rappeler à la raison. Dans la plupart des cas, cette mesure suffit. Dans les cas où le problème continue, le mari peut exprimer son mécontentement d’une autre façon pacifique, soit en dormant dans un lit séparé du sien. Cependant, il y a des cas où la femme persiste à maltraiter de façon délibérée son mari et néglige ses obligations conjugales. Au lieu du divorce, le mari peut avoir recours à une autre mesure qui peut sauver son mariage, du moins dans certains cas. Cette mesure est décrite plus précisément comme étant une petite tape sur le corps, mais jamais sur le visage, ce qui est plus une mesure symbolique que punitive. La loi islamique a bien précisé qu’avoir recours à cette mesure extrême et exceptionnelle considérée comme le moindre de deux maux (l’autre étant le divorce), est sujet à des restrictions explicites. Elle ne doit pas être sévère au point de causer des blessures ou même de laisser une marque sur le corps. Les lois américaines ou européennes contemporaines ne considèrent pas une tape légère qui ne laisse aucune marque sur le corps comme un abus physique.C’est la même définition qu’ont donnée les juristes musulmans il y a plus de 1400 ans. Dans plusieurs paroles, le Prophète a découragé son utilisation, aussi légère soit-elle. “Ne frappez jamais les servantes de Dieu (les femmes)” a dit le Prophète, qui a démontré cette noblesse dans sa propre vie conjugale. Il s’ensuit que lorsque cette question est ramenée dans son contexte, elle n’a rien à voir au fait de sanctionner “l’abus” ou “la violence conjugale” qui est, malheureusement, répandu dans un pays tel que les États-Unis où toutes les 10 secondes une femme est battue et chaque jour quatre femmes sont tuées par leurs conjoints, ce qui fait de la violence conjugale la cause du tiers environ des meurtres commis sur les femmes aux États-Unis (1993). Dans tous les cas, les musulmans qui passent outre les enseignements de leur foi et commettent des excès doivent être condamnés; comme tous les autres transgresseurs, sans distinction de religions. L’affirmation erronée que les excès commis par certains musulmans peuvent être mentionnés dans un des versets parmi les 114 sourates du Coran n’est pas plus vraie que d’affirmer que la violence qui sévit contre les femmes aux États-Unis peut être retrouvée dans la Bible. En répétant l’exhortation coranique sur le bon traitement envers les femmes, le Prophète Mohammad (Paix et Bénédiction sur lui) a clairement énoncé que “les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs (dans leur conduite) envers leur famille et je suis le meilleur d’entre vous (dans ma conduite) envers ma famille”. C’est l’exemple à suivre pour le croyant sincère qui veut dépasser les paroles, et le simple habit extérieur de piété, pour puiser directement ses vertus dans le Coran et la Sounnah (habitudes du prophète).Les formes de dissolution du mariage incluent forcément un accord mutuel entre le mari et la femme, si l’on se réfère à la sourate “Talâk” (divorce) du Coran (S.65:1-7 ou S.2:226/30, qui spécifient les différentes étapes d’un divorce); de même dans les hadiths. Le divorce est à l’initiative du mari, en général, mais peut-être l’initiative de la femme dans certains cas, voire, la décision d’un conseil sur l’initiative de la femme. Il est notable que malgré cette facilité apparente, les taux de divorces dans les sociétés musulmanes sont très inférieurs à ceux du monde occidental, car il faut situer cette “facilité” dans la perspective de la cohérence de l’ensemble du message coranique. La garde des enfants après le divorce, selon la loi islamique, est le droit de la mère jusqu’à ce que l’enfant soit âgé d’environ sept ans, moment où l’enfant peut choisir le parent avec lequel il veut vivre. Toutefois, le principe directeur qui prévaut réside dans le bien-être de l’enfant et le droit des deux parents à avoir accès à leurs enfants. 3. En tant que mère: Le Coran prescrit la gentillesse envers les parents, particulièrement les mères. Les musulmans apprennent que “le Paradis se trouve aux pieds des mères”. 4. En tant que soeur dans la foi: Le Prophète a recommandé la gentillesse, l’attention et le respect des femmes en général car elles sont les soeurs des hommes. 5. Au sujet de la modestie et des interactions sociales: Il y a aujourd’hui un large fossé entre l’idéal (loi islamique) et la réalité (pratiques culturelles). L’extrémisme, dans un sens ou dans un autre, est étranger à l’esprit de la loi islamique et peut refléter de simples pratiques culturelles.Les musulmans croient en une ligne directrice d’essence divine pour la modestie et la vertu se traduisant dans l’habillement et le comportement des hommes et des femmes. Le retrait de la femme dans certaines cultures est étranger à la pratique du Prophète. Des interprétations excessivement strictes faites par des savants dans certaines cultures minoritaires conservatrices (par exemple, les restrictions quant à l’interdiction pour les femmes de conduire) sont le reflet de l’influence de ces cultures conservatrices et non une compréhension généralement acceptée de la grande majorité des savants musulmans à travers le monde. L’Islam n’interdit pas la mixité sous deux conditions principales: a) observation d’un devoir de réserve et de pudeur mutuel; b) ils ne doivent pas être seuls (tête à tête).L’Islam n’interdit pas la liberté, mais le libertinage, et ce, à l’homme et à la femme. Si la femme a le devoir de pudeur devant l’homme, ainsi de même, l’homme a la même obligation face à la femme. Point de discrimination.4. Aspect légal et politique Les hommes et les femmes sont égaux devant la loi et les tribunaux. Les changements dans le nombre de témoins, hommes et femmes, dans les tribunaux ne figurent dans le Coran que dans le contexte des contrats financiers. Le but est d’établir l’exactitude du témoignage, dans un cadre donné et auquel les femmes peuvent ne pas avoir été exposées ou être expérimentées en matières commerciales. Le juge peut cependant décider d’assurer la justice sans égard au sexe des témoins.CONCLUSIONL’Islam a été la première culture à admettre la totale indépendance financière de la femme, à lui accorder des droits codifiés, que même certaines parties de l’Europe d’aujourd’hui leur refuse (le vote par ex.).Les musulmanes constituent en gros la moitié de la Oummah. Dieu, dans sa Sagesse, n’a pas attendu que d’autres dessinent pour elles les plans de leur libération. En Islam, chacun est responsable de ses actes et devra en répondre devant Dieu. Les musulmans font acte d’Islam non par foi aveugle, mais par acceptation de la cohérence de l’ensemble des principes de Dieu dans le Coran, et l’exemple du prophète, car il faut restituer le problème dans ce cadre et nul autre.“Le plus parfait des croyants est celui qui a la meilleure conduite . Les meilleurs d’entre vous sont ceux qui sont les meilleurs avec leurs femmes“ Hadith (Tirmizi)Ainsi parla le prophète de Dieu, Mohammad (Paix et Bénédiction Sur Lui) .

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Faites fructifier votre argent de manière sûre : un apport de 100 euros peut se multiplier jusqu'à 500 euros en une seule journée. Pas d'arnaques cachées derrière cette promesse mais bien une méthode fiable et mathématique qui ne tient pas compte du hasard ! Moi aussi, j'ai longtemps écumé les nombreux sites qui proposent des méthodes plus ou moins farfelues qui promettent de nous faire gagner beaucoup d'argent sans rien faire. La seule conclusion que j'en retire aujourd'hui, c'est que j'ai perdu de l'argent au lieu d'en gagner ! Mais tout cela n'aura finalement pas été vain car je suis enfin tombé sur une méthode qui m'intéresse et qui me fait véritablement gagner de l'argent. Il ne s'agit pas d'une méthode miraculeuse : pas de poudre de perlimpinpin, pas de hasard, pas de chance au menu. Seulement une technique basée sur du concret, sur une connaissance pointue du monde de la finance et des marchés, sur l'avis d'experts en la matière… Et si vous appliquez cette technique à la lettre, vos chances de faire fructifier votre argent s'élèvent à plus de 9 chances sur 10, si vous apportez au départ une mise égale ou supérieure à 100 euros. Bien logiquement, plus votre mise de départ est élevée, plus vous augmentez cette probabilité…Contrairement aux méthodes qui vous promettent de contrer les machines des casinos et autres jeux de hasard - alors que c'est impossible -, la technique que nous allons vous exposer ici s'attache au monde de la bourse. Evidemment, contrairement aux casinos, la bourse ne fonctionne pas avec des machines programmées pour contrer les joueurs… Ici, on est dans la réalité, le concret. Le cours de l'euro ou du dollar n'est pas déterminé par une machine ! Allons dans le vif du sujet. Pour tester/pratiquer cette technique, il vous faudra posséder une carte de crédit et accepter d'effectuer un dépôt de 100 euros (ou davantage, si vous le souhaitez). Après quelques minutes déjà (environ 15), vous verrez déjà apparaître les premiers gains. Petit à petit, bien sûr. Et après une journée, cette technique vous offre la possibilité d'avoir plus de 9 chances sur 10 de remporter 500 euros. Tout ça en une journée et avec un apport de 100 euros…Voici les étapes à suivre, concrètement et en images. La technique dont nous vous parlons depuis le début repose sur ce que l'on pourrait appeler l'option binaire, à savoir le choix entre deux alternatives. Voilà qui paraît un peu obscur à première vue, mais pas de panique : après quelques explications rapides, vous comprendrez vite à quel point c'est facile. Je suis à la base loin d'être un expert en la matière et pourtant j'ai rapidement fait fructifier mon argent au point de remporter des coquettes sommes, tous les moins, aujourd'hui.
L'option binaire, c'est quoi ? Cela vous tout simplement dire que vous devez poser un choix entre deux options, entre la possibilité « a » et la possibilité « b ». Dans le domaine qui nous concerne ici, ces deux possibilités de choix (qui concerne la vente d'une action ou encore d'une devise) sont : « à la hausse » (« call ») ou « à la baisse » (« put »), dans les 15 minutes qui suivent. Attention, ne confondez pas avec la méthode du Forex, qui est hyper compliquée, pas évidente à comprendre et d'après moi, pas vraiment fiable. Avec la technique de l'option binaire, vous avec plus de 99 chances sur 100 de faire fructifier votre apport de 100 euros! Voici comment il faut s'y prendre : 1. Cliquez sur www.optionfair.com ou sur l'onglet ci-dessus pour ouvrir un compte à votre nom. Remplissez soigneusement le formulaire en précisant vos coordonnées complètes
2. Déposez une somme de 100 euros – c'est le minimum pour que la technique fonctionne au mieux mais rien de nous empêche de déposer une somme plus élevée, qui maximisera encore plus vos bénéfices. 3. Connectez-vous à OptionFair. Voilà pour les premières étapes indispensables. Ensuite, plongeons dans la technique à proprement parler. 1. Sur OptionFair, commencer par choisir une valeur sur laquelle vous voulez parier. Va-t-elle baisser (« put ») ? Va-t-elle augmenter (« call ») ? Voilà les deux choix qui s'offrent à vous. A ce stade, vos chances de tomber sur la « bonne » réponse s'élèvent donc bien logiquement à une chance sur deux, à 50%. Mais grâce à nos traders, à leur savoir, à leurs conseils et à la conception d'un outil génial, nous faisons passer ce pourcentage à 80%.2. Si votre choix s'avère le bon (bref, si vous gagnez), vous devrez recommencer l'opération : choisir une valeur sur laquelle parier (put ou call), miser la même somme, etc. Et rebelote tant que vous gagnez… Par contre, si vous perdez, il vous faudra (et seulement à ce moment-là) passer à l'étape suivante. 3. Si vous perdez donc, il vous faudra choisir une valeur sur laquelle parier… mais en veillant bien à tripler votre mise initiale. Cela veut dire que si vous avez (par exemple) parié 10 euros lors des premières étapes, vous devrez à présent miser 30 euros. De cette manière, vous pourrez regagner ce que vous avez éventuellement perdu, sans oublier un petit bénéfice en prime…4. Si vous gagnez lors de cette étape (point 3), il vous faudra retourner au commencement (point 1), avec la mise de départ de 10 euros. Mais si vous perdez, il faudra à nouveau tripler la mise qui passera alors, lors du nouveau pari, à 90 euros. 5. Si vous gagnez lors de cette étape (point 4), il vous faudra retourner au commencement (point 1), avec la mise de départ de 10 euros. Mais si vous perdez, il faudra à nouveau tripler la mise qui passera alors, lors du nouveau pari, à 270 euros. Et ainsi de suite… Bon à savoir : si vous accédez à cette étape, les « chances » de perdre sont infimes. Remarques : nous avons choisi d'expliquer la technique avec une mise de départ de 10 euros – c'est purement explicatif… Si vous choisissez une mise de départ de 2 euros ou de 15 euros, il est évident que cela ne change rien, à partir du moment où vous respectez scrupuleusement les différentes étapes.
1.1. Avec l'aide de l'outil, nous avons choisi un trade. Ici, EUR/USD. Nous avons comme toujours le choix entre deux options : « call » ou « put ». On voit bien qu'on a tout intérêt à choisir « call », à 59% de chances de gagner. Pariez 10 euros. 1.2. Patientez. Une quinzaine de minutes d'attente avant de savoir le résultat. Et c'est absolument indispensable. Patience, donc ! 1.3. Après ces 15 minutes, le résultat apparaît et vous pouvez continuer. Si vous avez réussi, vous aurez 8 euros en guise de bénéfices. Il vous faudra alors recommencer cette première étape. 1.4. Si vous avez échoué, vous devrez alors passer à la deuxième étape. 2. Lors de cette deuxième étape, vos chances de gagner s'élève à 84%.
2.1. Avec l'aide de l'outil, nous avons choisi un trade. Ici, EUR/JPY. Nous avons comme toujours le choix entre deux options : « call » ou « put ». On voit bien qu'on a tout intérêt à choisir « call », à 67 % de chances de gagner. Pariez 30 euros. 2.2. Patientez. Une quinzaine de minutes d'attente avant de savoir le résultat. Et c'est absolument indispensable. Patience, donc ! 2.3. Après ces 15 minutes, le résultat apparaît et vous pouvez continuer. Si vous avez réussi, vous aurez 14 euros en guise de bénéfices. Il vous faudra alors recommencer cette première étape. 2.4. Si vous avez échoué, vous devrez alors passer à la troisième étape.
3.1. Avec l'aide de l'outil, nous avons choisi un trade. Ici, AUD/USD. Nous avons comme toujours le choix entre deux options : « call » ou « put ». On voit bien qu'on a tout intérêt à choisir « put », à 65 % de chances de gagner. Pariez 90 euros. 3.2. Patientez. Une quinzaine de minutes d'attente avant de savoir le résultat. Et c'est absolument indispensable. Patience, donc ! 3.3. Après ces 15 minutes, le résultat apparaît et vous pouvez continuer. Si vous avez réussi, vous aurez 32 euros en guise de bénéfices. Il vous faudra alors recommencer cette première étape. 3.4. Si vous avez échoué, vous devrez alors passer à la quatrième étape

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