samedi 31 décembre 2011

Que signifie l'option "lecture seul"

Que signifie l'option "lecture seul" dans les propriétés de fichier et que risque t-on si on change un fichier en lecture seul en archive ?
C'est un format de sauvegarde, une sorte de précaution pour empêcher toute modification par erreur. Par exemple tu crées un modèle de lettre et tu le sauvegardes en format lecture seule, il te servira de modèles de base, de cette façon pour le prochain courrier tu ajoutes les modifications que tu veux et tu l'imprimes ou bien tu le sauvegardes sous un autre nom. Ainsi ton modèle de base lui ne change pas. Ceci dit tu peux le renommer sous le format "archive", mais tu n'auras plus le modèle.

projet

دراسة جدوى اقتصادية لمشروع تربية أرانب ( 100 أم و 20 ذكر)
إن مشروع الأرانب من أربح المشاريع الآن بمصر، للدمار و الأمراض التي قد أصابت الدواجن مثل أنفلونزا الطيور، و البقر الحمى القلاعية التي اقتلعت الكثير و الكثير من ثورة البلاد الاقتصادية الحيوانية و مرض الجلد العقدي أخيرا،،، إنني أنصح كل مستثمر، شاب، رجال المعاش، السيدات في المنازل بعمل هذا المشروع المجدي جدا (بشروط) و هي:
أن تضمن سلالة الأرانب ويفضل الحصول عليها من ( معاهد البحوث أو اكبر مزارع مصر).
أن تكون البطاريات وزن العين لا يقل عن 3.5 كجم و ابعادها60*50*40، و تكون مجلفنة ثم عليها طبقة الكترو استاتيك.
أن يكون العلف مطابق للمواصفات القياسية لوزارة الزراعة المصرية و يكون مكتوب على العبوة تلك الجملة.
أن يكون العنبر مطابق للمواصفات ألا تقل التهوية على 15% من مساحة أرضية العنبر.
أن يكون المشرف على المزرعة مهندس زراعي و ليس طبيب بيطري ( لان المهندس يسمى مهندس تغذية و إنتاج حيوان).
أولا: تكاليف الحيوانات:
100 أم سعر الأم 80 جنيه =8000 جنيه
20 ذكر سعر الذكر 85 جنية= 1700
إذن تكاليف الحيوانات 8000+1700=9700 جنيه.
ثانيا : تكاليف البطاريات:
240عين للفطام و الذكور و الإناث سعر العين 80 جنيه = 19200 جنية.
إذن التكاليف الثابتة 9700+19200 = 28900= جنية.
ثالثا: معلومات عن أسلوب التغذية:
الأم تتغذى على 300 جرام علف يوميا.
الذكر يتغذى على 200 جرام علف يوميا.
الخلفة تتغذى على 100 جرام علف يوميا حتى عمر 45 و هو عمر البيع.
كل أم تلد 5 أرانب في المتوسط بعد حساب النافق منها.
سعر طن العلف موحد للإناث أو الذكور أو للفطام= 1600 جنيه.
رابعا: تكاليف التغذية:
تكاليف التغذية للأمهات حتى البيع 45 يوم= 300 جرام علف، في 45 يوم في 100 أم= 1350 كجم=1.35 طن.
تكاليف تغذية الذكور حتى البيع= 200 جرام في 45 يوم في 20ذكر=180 كجم=0.18 طن.
تكاليف التغذية للخلفة حتى البيع= 100 جرام في 45 يوم في 500 أرنب =2250 كجم =2.25 طن.
إذن تكاليف التغذية الكلية حتى بيع الإنتاج =1.35 + 0.18 + 2.25 =3.78 طن سعر الطن 1600 جنيه =6048 جنيه.
خامسا:حساب التكاليف الأخرى:
أدوية 45 يوم بحوالي 600 جنيه.
الإيجار: 250 جنيه
العمالة: 250 جنية
الإشراف: 500 جنيه
مرافق (ماء، كهرباء): 100 جنيه
سادسا:العائد من بيع الأرانب (لحم):
500 أرنب وزن الأرنب لا يقل عن 1.5 كجم في سعر الكيلو 14 جنيه =10500 جنيه
الربح = العائد - التكاليف
التكاليف =6048 للعلف+600 أدوية+500 عمالة و إيجار+600 إشراف و ماء و كهرباء=7748 جنيه.
الربح = 10500 - 7748 = 2752 جنية وذلك كل 45 يوم.
من الملاحظ أننا قد حسبنا العمالة و الإيجار و الإشراف و الماء و الكهرباء لمدة شهر واحد فقط، و لذالك يتم خصم مبلغ 752 لتغطية ذلك.
إذن الربح المتوقع هو 2000 جنية كل 40 يوم على الأكثر..

mardi 27 septembre 2011

"La Vie sauvage des animaux domestiques" : à la redécouverte de nos bêtes familières

Voilà beau temps qu'on n'avait pas vu un film animalier qui nous épargne les grandes orgues de l'exploit cinématographique, de la surenchère exotique, du pompiérisme darwinien et du pathos écologique.

Rien de tout cela ici. Un casting familier (les animaux de la ferme et des bois), un modeste argument de fable (que font donc ces bêtes quand le fermier tombe malade ?), une philosophie irréprochable (hommes et bêtes à leur place et les vaches seront bien gardées).

Tout se passera donc dans la cour d'une ferme de la Bresse, une fois que l'ambulance aura emporté dès le plan d'ouverture un fermier grippé à l'hôpital (on ne le verra même pas, ce qui n'a aucune importance eu égard à la pure convention de la scène).

Abandonnées à eux-mêmes, du moins en théorie, ces sympathiques bêtes de nos contrées, plus ou moins familières, se mettent à vivre leur petite vie, qui vaut a priori autant - non mais des fois ! -, que celle des pingouins de la banquise ou des poissons des lointaines profondeurs.

Un couple de cochons, une jument, une poule noire, un chat, des poissons rouges, quelques vaches, des perdrix, des dindons, un renard qui rôde, un sanglier qui fouine, une cigogne qui passe, figurent parmi les nombreux héros de cette modeste épopée.

Un commentaire avec ce qu'il faut de distanciation familière et d'humour, un point de vue à la fois ludique et pédagogique qui ne se hausse pas du col, une prise de vue attentive et patiente, une mise en scène qui a l'honnêteté de s'avouer comme telle : cela fait amplement l'affaire et suffit à notre bonheur.

Certains puristes reprocheront peut-être à cette méta-fiction animalière de se faire passer pour un documentaire : qu'importe. La joie est là, l'étrangeté aussi, et l'utopie revendiquée d'un point de vue sur le monde qui passerait par le regard d'animaux provisoirement libérés de l'asservissement où nous les tenons.

Un film avec des animaux, préservant le mystère de leur présence à nos côtés, plutôt que sur des animaux, purs prétextes à la maîtrise idéologique et imaginaire du récit. Un film qui est du coup, toutes choses égales par ailleurs, au documentaire animalier ce qu'Etre et avoir de Nicolas Philibert est au document sur l'éducation.

Les animaux ont-ils des droits ?

Les animaux ont-ils des droits ? Cette question, communément moquée et balayée d'un revers de main il y a peu, fait aujourd'hui partie des interrogations recevables, comme l'a montré récemment le 21e forum "Le Monde – Le Mans" intitulé "Qui sont les animaux ?".


Qu'est-ce qui justifie que l'on fasse souffrir, de manière routinière, industrielle, et dans des proportions jamais atteintes, des milliards d'animaux terrestres et marins pour des bénéfices dont la légitimité et l'utilité sont au moins discutables ? Si l'on pense que les animaux n'ont pas de droits et qu'ils n'ont, somme toute, que ce qu'ils méritent, il faut s'en expliquer.

Un grand pas vers l'explication est franchi lorsque beaucoup se sentent contraints d'étayer une position qui semblait jusque-là acquise, inébranlable, pour ne pas dire irréprochable : après tout, ce ne sont que des bêtes ; d'où il faut entendre que quand on agit contre l'intérêt des bêtes, on ne fait rien de vraiment mal, rien de vraiment grave. De cela, nous ne sommes peut-être pas absolument persuadés en notre âme et conscience, mais la collectivité ayant entériné les pratiques cruelles et massives contre les animaux, tout se passe comme si nous nous sentions individuellement justifiés d'en profiter, et donc innocents.

Ce trouble que chacun ressent en songeant aux souffrances infligées aux animaux a du reste entraîné depuis longtemps ses premières conséquences juridiques sur le continent européen : en Angleterre par le Martin's Act, dès 1822, en France par la loi Grammont de 1850 punissant les mauvais traitements commis publiquement envers les animaux domestiques. Ces premiers pas étaient cependant bien timides, car la condition de publicité des actes commis tendait à protéger davantage la sensibilité des hommes auxquels le spectacle en était imposé que celle des animaux qui les subissaient. Sans doute la condition de publicité tombera-t-elle par le décret du 7 septembre 1959 pour les mauvais traitements et ne sera-t-elle pas reprise par le loi du 19 novembre 1963 qui institua le délit d'actes de cruauté. Cependant, aux côtés des souffrances inutilement infligées, c'est-à-dire non nécessitées par la finalité d'usages la plupart du temps générateurs de souffrance, il faut désormais songer à ces violences qui sont imputables au système d'exploitation.

Si la cruauté contre les animaux n'a pas d'âge, quelque chose s'est emballé. Dans le même temps, l'invisibilité de la souffrance animale se fissure, l'évidence selon laquelle les bêtes ne sont bonnes qu'à être tuées semble, pour peu qu'on y réfléchisse, douteuse. Derrière le "produit" se profile parfois quelque chose que nous n'aimons pas voir. La torsion que subit le statut juridique des animaux traduit ce malaise. Le législateur européen prend des mesures de plus en plus nombreuses pour "protéger" les animaux et veiller à leur "bien-être", y compris et surtout au moment le plus paradoxal où on les mutile et où on les tue. La prédilection des législateurs pour un mot aussi fort que le "bien-être", visant à faire face à des situations où sa prise en compte confine à l'absurdité, reflète probablement pour une part le malaise inhérent à la justification implicite d'activités animalicides.

La proposition de règlement du Conseil du 18 septembre 2008 sur la protection des animaux au moment de leur mise à mort en appelle d'ailleurs à la "prise en compte du bien-être des animaux" tout en enjoignant les exploitants "d'épargner au maximum la douleur, la détresse ou la souffrance aux animaux destinés à l'abattage". On découvrira une nouvelle dimension du paradoxe dans la Directive 93/119/CE du Conseil du 22 décembre 1993 sur la protection des animaux au moment de leur abattage ou de leur mise à mort qui mentionne dans l'un de ses alinéas qu'il "est interdit d'assener des coups ou d'exercer des pressions aux endroits particulièrement sensibles. Il est en particulier interdit d'écraser, de tordre, voire de casser la queue des animaux ou de les saisir par les yeux. Les coups appliqués sans ménagement, notamment les coups de pied, sont interdits". Faut-il que ces actes fussent répandus pour qu'il ait été nécessaire de les noter aussi explicitement dans une directive !

LA PERSONNALITÉ JURIDIQUE

Alors que certains scientifiques s'en remettrent au concept mécaniste de nociception, que d'autres admettent l'existence de douleurs "seulement physiques", le législateur européen, quant à lui, reconnaît aux animaux cette évidence, à savoir la capacité à souffrir, à être le sujet de leur douleur et à ressentir la souffrance psychique qu'est la détresse. En vérité, tout le monde sait cela. Pourtant, les animaux sont très exactement traités comme des matières premières dont les règles de transformation sont soigneusement décrites. Comment peut-on tranquillement reconnaître en même temps que les animaux sont profondément affectés par ce qui leur est fait, et en affirmer le caractère licite ? La légitimité de ces pratiques n'est-elle pas mise en question au cœur de leur réglementation ?

S'il est vrai que les animaux demeurent versés du côté des biens, et à ce titre appropriables, ils bénéficient depuis le décret de 1959, la loi de 1963 (précités), la loi du 10 juillet 1976 – dont l'article 9 proclame que "Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce" – et le Code pénal entré en vigueur en 1994, d'une protection contre leur propriétaire lui-même. Désormais, le droit ne laisse plus le propriétaire disposer de sa chose comme bon lui semble lorsque cette chose est un animal. D'ailleurs cette prise en compte de l'intérêt propre de l'animal, être vivant et sensible, n'exprime-t-elle pas une forte résistance à sa classification dans la catégorie des choses ?

Une ligne se dégage alors pour comprendre les raisons d'octroyer des droits aux animaux, par-delà les devoirs de l'homme à les utiliser le moins cruellement possible. A ceux qui considèrent que les avancées législatives en matière de protection des animaux, et plus encore l'idée de leur reconnaître des droits, comme une insulte à la misère humaine, il faut répondre que la misère humaine résulte de l'exploitation ou de l'indifférence à la souffrance des plus faibles et que c'est au contraire l'insulter, sinon la légitimer, que de prôner l'indifférence farouche à l'égard de la souffrance d'autres êtres plus faibles encore et qui ne peuvent jamais consentir. Il faut leur répondre que, dans la mesure où il ne suffit pas de rester indifférent à la souffrance des animaux pour soulager la misère humaine, la protection des animaux et celle des plus faibles des hommes relève du même et noble combat du Droit pour aider ceux à qui il peut être fait du mal, beaucoup de mal. Considérer les animaux comme des choses, c'est les maintenir dans la catégorie où on les avait enfermés à l'époque où la négation de leur sensibilité permettait de les exploiter pleinement.

Nous estimons au contraire que tant sur le plan éthique que sur le plan juridique, dans le prolongement des idées avancées par René Demogue il y a plus d'un siècle, il est inacceptable de continuer à considérer les animaux comme des choses. On peut, certes, améliorer le sort des animaux sans leur accorder la personnalité juridique, et des progrès ont été accomplis en ce sens aussi bien en droit français qu'européen. Il semble cependant difficile de faire véritablement ressortir l'utilité de règles protectrices toujours plus nombreuses sans accorder aux animaux un statut qui leur reconnaisse la personnalité juridique et leur attribue techniquement des droits. De toute façon, dans ce domaine comme dans tout autre, les améliorations concrètes dépendent de l'interprétation des textes par le juge. Or, il ne fait guère de doute que les mêmes règles également protectrices ne seront pas interprétées dans un sens aussi favorable aux animaux dans un Etat continuant à les considérer comme des choses, toujours un peu viles, que dans un Etat les ayant déjà admis dans la catégorie des personnes titulaires de droits.

Les dix animaux les plus dangereux du monde

1 // Le moustique, plus grand vecteur de maladies

Le fléau des moustiques

Les moustiques sont les vecteurs exclusifs de la plasmodie, le parasite responsable du paludisme.

Quelque 30 espèces d'anophèles interviennent dans la transmission de la maladie, avec chacune leurs particularités biologiques et écologiques.

Les espèces archétypiques en sont Anopheles gambiae en Afrique subsaharienne, qui est un vecteur très efficace dont les larves se développent dans la moindre collection d'eau douce exposée au soleil, y compris en ville.

Au final, ce sont des millions de personnes, par an, qui succombent, indirectement, aux piqûres de moustiques.

2 // Le plus venimeux en mer

Dangereux, mais pas agressif

Les serpents de mer possèdent en général un venin entre dix et mille fois plus puissant que les serpents terrestres.

On en rencontre le plus grand nombre (que ce soit en variétés ou en individus) autour de la grande barrière de corail en Australie.

En revanche, ils ne sont pas agressifs envers l'homme ni même réellement dangereux envers le plongeurs car leurs crochets à venin sont minuscules est quasiment incapables de transpercer une combinaison. Les accidents sont donc rares, et tant mieux, car les plus venimeux peuvent tuer un homme en quelques secondes !

3 // Les épines dorsales du poisson épineux

Le poisson-épineux de l'océan Indien possède également un poison neurotoxique foudroyant. Il est injecté par les treize épines dorsales et provoque des souffrances atroces, le délire et parfois la mort.

Le poisson épineux est cependant très timide, et évolue dans les mers chaudes du globe. Ainsi, en croiser un en plongée n'est pas rare, mais il aura tendance à fuir.
La seule précaution à prendre est donc de ne pas mettre le poisson en situation de stress.

4 // La vitesse du crocodile

Le dernier dinosaure

Le crocodile, véritable fossile vivant, se décline en une trentaine d'espèces potentiellement dangereuses pour l'homme. Chasseur opportuniste, le crocodile cherche ses proies sur son territoire. Ainsi, si un être humain s'y trouve quand le crocodile chasse, il est tout à fait possible que le reptile tente de capturer l'intrus.

Présent dans tout l'hémisphère sud, jusqu'à l'extrême sud de l'Australie, la plupart des accidents ont lieu en Afrique, où l'homme et le crocodile se côtoient parfois tous les jours.

Dans ces régions, le problème peut s'avérer grave, étant donné qu'il est extrêmement difficile de capturer un crocodile.

5 // Le venin des araignées

Les plus dangereuses sont les plus petites

Nombreuses sont les araignées qui conservent leurs victimes paralysées dans un linceul soyeux, afin de les mettre en réserve.
Quelques-unes sont des tueuses et peuvent être très dangereuses pour l'homme. La veuve noire est extrêmement venimeuse. De même, l'araignée ermite brune, l'araignée à toile entonnoir, l'araignée à dos rouge d'Australie et l'araignée-bouton d'Afrique du Sud peuvent provoquer la mort.

Les araignées plus grosses, comme les tarentules ou les mygales, sont également potentiellement dangereuses, mais leur habitat, souvent éloigné de la population, et leur grande taille, rendent les accidents rares.

6 // La piqûre du scorpion

Peu de spécimens très dangereux

Le venin du scorpion ne provoque en général qu'une simple paralysie. Cependant, le dard caudal de certains scorpions comme l'Androctonus australis, peut infliger une piqûre mortelle. Entre 1936 et 1950, cet animal a causé la mort de 377 personnes en Algérie.

Cependant, rares sont les scorpions dont le venin est mortel, et ils sont d'une nature très peureuse. Cependant, leur petite taille les rend parfois peu visibles, et les piqûres sont souvent des accidents.

7 // Les serpents, venimeux et constricteurs !

Un danger sur toute la planète

Parmi les serpents, le cobra royal est l'un des plus dangereux. On a vu ce serpent tuer des éléphants en les mordant à l'extrémité de leur trompe, là où la peau est tendre. Cependant, le serpent-tigre du sud de l'Australie possède un venin encore plus violent. Son venin est si actif que 0,609 mg suffit pour tuer un homme.

Le trigonocéphale du sud-est des Etats-Unis produit assez de venin pour tuer 30 personnes. Le serpent qui détient le record mondial est le taïpan.

Les gros serpents, tels l'anaconda ou le python molure, peuvent attaquer l'homme et le dévorer, mais seulement s'ils se sentent menacés.

8 // La charge de l'éléphant

Une puissance dévastatrice

En Asie et en Afrique, les éléphants vivent en troupeau pendant une grande partie de leur vie.

Ainsi, face à l'homme, un peu comme le buffle, il peut avoir, subitement, un accès de furie et charger.

Dérangé ou chassé par l'homme, le troupeau foncera alors droit sur le danger, en piétinant tout sur son passage.

Des troupeaux d'éléphants auraient même détruit des villages entiers en Afrique.

Pour cet animal, le danger vient aussi du fait qu'il se répand sur un territoire immense, et les rencontres éléphant / homme sont donc nombreuses.

9 // La puissance du buffle

La tête baissée

Le buffle africain représente l'animal le plus dangereux pour l'homme sur le continent noir. Plusieurs traits de son comportement le rendent particulièrement terrifiant. Un troupeau de plusieurs centaines de buffles, dont de nombreux individus pèsent près d'une tonne, chargeant au galop, est sans aucun doute l'une des actions les plus impressionnantes et les plus dangereuses qu'on puisse imaginer. Un seul buffle serait d'ailleurs aussi dangereux, car ce bovidé a pour coutume d'écraser sa victime et de la réduire en un amas informe de chair sanglante.

Le plus grand danger est en fait le caractère imprévisible de cet animal.

La Pyramide de Khéops

Aux portes de la ville du Caire, en Egypte, se dresse la plus ancienne et la seule survivante des sept merveilles du monde antique: il s'agit de la pyramide de Khéops située à Gizeh près de deux autres plus petites : Khephren et Mykérinos.
On estime que Khéops fut construite aux alentours de 2800 av. J.-C mais l'incertitude concernant cette date reste importante. Cette pyramide aurait été dessinée par Imhotep, architecte égyptien de la IIIe dynastie de l'ancienne Égypte.

Les Egyptiens atteignirent la perfection en construisant le monument que se fit élever le pharaon Khéops et que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de grande pyramide de Gizeh. En effet, il désirait pour lui-même une sépulture capable de défier le temps. Un tombeau gigantesque, inviolable qui conserverait sa divine dépouille pour l'éternité... Exceptionnelle, cette pyramide l'est par ses dimensions (232 m de large et 146 m de haut) et par ses aménagements intérieurs : pas moins de trois chambres, dont deux construites dans la masse de pierre. Pour mener à la chambre du roi, une galerie longue de 47 m et haute de 8,50 m fut imaginée. Afin de procéder à l'édification de sa monumentale ambition, Kheops fit même apporter des pierres extraites des montagnes d'Arabie qui furent chargées sur des bateaux pour descendre le Nil jusqu'à Gizeh.

Cet ensemble de pyramides fut élevé par des milliers de personnes issues de la population Egyptienne. Par ces constructions, ils ont prouvé leur puissance que nous pouvons encore reconnaître de nos jours en observant ces pyramides à Gizeh.

Pourquoi est ce une merveille antique ?

Khéops est le témoignage extraordinaire du génie humain car elle était immense et impressionnante pour l'époque. Même de nos jours, elle reste l'une des plus grandes constructions humaines.

Les Jardins Suspendus de Babylone

Les jardins suspendus de Babylone demeurent en eux-mêmes une merveille bien mystérieuse. En effet, aucun texte babylonien les citant n'a été retrouvé. On ignore même la date de destruction. Peut-être est ce là le fruit de l'imagination des Grecs ?
Les jardins se trouvaient sur la rive de l'Euphrate, dans la ville de Babylone à 50 km au sud de Bagdad, et ils auraient été construits en 600 av. J-C. Aucun historien grec ne les a vu, il s'agit en fait de récits ou d'histoires racontées par les soldats, ce qui constitue une source d'information bien douteuse.

Selon la tradition, le roi Nabuchodonosor II (604-562 avant J-C) aurait fait construire pour sa femme Sémiramis, les célèbres jardins suspendus de Babylone en souvenir de la végétation des montagnes de son pays: la Médie (Iran actuel).

Ces jardins étaient composés de plusieurs étages en terrasses, de cent vingt mètres carré, soutenus par des voûtes et des piliers de brique. Un immense escalier de marbre reliait ces terrasses, où l'eau, par un système de vis hydrauliques, était amenée depuis l'Euphrate. C'était un véritable jardin botanique où l'on cultivait les plantes et les arbres de Mésopotamie ainsi que ceux des montagnes de Médie. On y planta sur la première terrasse de huit mètres de haut des grands arbres: platanes, palmiers dattiers, pins et cèdres, sur la deuxième de treize mètres, on plaçait les genévriers, les cyprès et quantité d'arbres fruitiers. Et encore plus haut, sur les deux dernières terrasses, moins vastes, fleurissaient les anémones et les tulipes, les lis et les iris...sans oublier les roses si chères à la belle Sémiramis. Les jardins dominaient la ville d'une bonne vingtaine de mètre.

Pourquoi est ce une merveille antique ?

A l'époque, c'était une innovation : pour la première fois les Grecs voyaient des jardins perchés sur les toits. De plus, la réunion de toute cette diversité de végétaux devait être magnifique et satisfaire amplement Sémiramis.

La Statue de Zeus

Cette statue colossale représentait le dieu grec du Ciel : Zeus. Elle fut commandée en 450 avant J.C. au sculpteur athénien Phidias par les habitants d'Olympie qui souhaitaient orner le temple de la vieille ville.
Cette œuvre se situait sur la côte ouest de la Grèce à Olympie. Dans l'antiquité, cette ville était un lieu de culte qui comportait de nombreux trésors de l'art grec : des temples, des monuments, des autels, des théâtres, des statues et des offrandes votives de bronze ou de marbre. Elle était réalisée en or et en ivoire, mesurait 12 m de haut et était placée sur un piédestal de 2 m. La base de la statue avait pour dimensions 6,05 m de large et 1m de hauteur. La statue a pour périmètre 13m. Cette œuvre touchait presque le plafond du temple. D'autre part, le trône était décoré avec des pierres précieuses, de l'ivoire, de l'ébène et de l'or.

Zeus, en position assis, tient, dans sa main droite, la déesse de la Victoire, Niké, et, dans sa main gauche, un sceptre surmonté d'un aigle. Le trône était décoré de scènes mythologiques sculptées en relief, évoquant notamment le meurtre des fils de Niobé, reine de Thèbes.

Pourquoi est ce une merveille antique ?

Tout d'abord, cette œuvre demeura la statue du dieu en l'honneur duquel les anciens jeux olympiques furent créés. Ils avaient lieu tout les quatre ans et étaient les plus célèbres des quatre jeux antiques auxquels se livraient les Grecs, les trois autres étant les jeux Isthmiques (à Corinthe), les jeux Pythiques (à Delphes) et les jeux Néméens (à Némée). Ensuite, on peut dire que de part sa grandeur et sa valeur inestimable, la statue de Zeus se démarquait de certaines autres œuvres grecques. On peut ajouter qu'il s'agit de la plus grande statue que les Grecs ont réalisé.

Malheureusement, elle fut détruite lors de l'incendie qui ravagea le temple en 462. Il ne reste désormais que des ruines de pierres qui ont servi à la construction du temple.

Le Colosse de Rhodes

Cette statue de bronze représentant Hélios, dieu grec du Soleil, fut édifiée par le sculpteur Charès de Lindos pour commémorer la levée du siège de la ville qui a eu lieu en 305 avant J.C. et la victoire des Rhodiens contre le chef macédonien Démétrios Poliorcète.
Le colosse de Rhodes se trouvait dans le port de Rhodes en Grèce, probablement à l'extrémité de l'actuel môle Saint-Nicolas où l'on a retrouvé des blocs de marbre qui auraient pu être utilisés pour le socle de la statue. Le colosse de Rhodes a été érigé entre 303 et 291 av. J.-C. et c'est au prix de douze ans de travail qu'il fut entièrement fini.

Faite de bronze et élevée sur une base en marbre, la statue mesurait de la tête aux pieds 32 m, soit 14 m de moins que la statue de la liberté de New York ce qui lui permettait d'être visible par les navires approchant du port. De son bras levé, le dieu tenait un flambeau tandis que son autre bras s'appuyait sur une lance.

Elle fut partiellement détruite en 225 av. J.-C. à la suite d'un tremblement de terre. Puis, en 653 apr. J.-C., l'ensemble des matériaux (plus de 13 t de bronze et près de 7 t de fer, selon Philon) est saisi par une expédition arabe pour être vendue à un marchand juif d'Ephèse. La statue chevaucha l'entrée du port pendant seulement soixante-cinq années.

Pourquoi est ce une merveille antique ?

On peut dire que le colosse de Rhodes se classe parmi les sept merveilles du monde car son immensité est exemplaire. De plus, il faut bien se rendre compte que cette œuvre grecque est le résultat d'une très grande prouesse technique qui se caractérise, entre autre, par l'utilisation de moules en terre cuite nécessaire au coulage du colosse. Nous pouvons comprendre que la préparation à la construction devait être délicate. D'ailleurs, il parait même que Charès de Lindos se suicida lorsqu'il découvrit une erreur dans ses calculs; erreur que dut corriger l'un de ses assistants.

Le Mausolée d'Halicarnasse

Il s'agit d'un tombeau monumental situé au sud-ouest de la Turquie dans la ville d'Halicarnasse (actuellement Bodrum) où reposait le roi de Carie nommé Mausole. Il était aussi satrape1 du roi de Perse, à qui la Carie appartenait.
Il est très probable qu'Artémise, soeur et femme du satrape de Carie entreprit la construction de cet édifice en 353 av. J.-C., soit trois ans après la mort du roi, pour lui rendre hommage. Le mausolée fut terminé une année après la mort de cette femme.

D'une hauteur totale de près de 43 m, il était supporté de trente-six colonnes et surmonté d'une pyramide ornée d'un quadrige2 de marbre. La chambre funéraire contenait sans doute les tombes de Mausole et d'Artémise. On pouvait aussi observer une frise d'une grande valeur qui représentait un combat des Grecs contre les Amazones et les Centaures.

Ce monument fut détruit en partie, par un séisme, vers le XIVe siècle. Peu de temps après, les chevaliers de l'ordre de Malte décidèrent de construire une forteresse : ils utilisèrent les pierres du mausolée et en 1522, il n'en resta plus aucune. De nos jours, nous pouvons encore observer cette forteresse à Bodrum.

Pourquoi est ce une merveille antique ?

Ce mausolée fut classé ainsi car il se démarque par sa beauté et sa richesse. En effet, les ornements du sanctuaire ont été réalisé par les artistes les plus connus de son temps : pour l'architecture Satyros et Pythéos; pour la sculpture Scopas, Timothéos, Bryaxis et Léocharès. Les décorations et les sculptures étaient d'une grande beauté. Certaines pièces ont été retrouvées et peuvent être vues au British Museum de Londres.

L E T EMPLE D' A RTEMIS

Les gens de l'époque étaient-ils fous ? Pourquoi construire un tel monument en l'honneur d'une Déesse ? Peu importe ce que pensait ces mélomanes, leur mentalité a fait que le Temple d'Artémis fut inscrite sur la plus prestigieuse des listes du monde et cela afin d'honorer la protectrice de leur cité, qui leur apportait prestige et renommée.
Localisation :



Il se situait en Asie Mineure, la Turquie actuelle, dans la cité antique d'Ephèse. Mais maintenant, Ephèse n'est plus que ruine, une ville s'est construite près de l'antique cité, Selcuk, située à 50 km environ au sud d'Izmir.





Histoire :



Au VIIe siècle av. Jésus-Christ, les Ioniens fondent Ephèse. Cybèle s'hellénise: elle s'appelle Diane, puis Artémis. Vers 550 avant Jésus-Christ, le temple d'Artémis est construit : c'est un chef-d'œuvre de l'art ionien.



Dans la nuit du 21 juillet 356 av. J.-C., un certain Herostratus a incendié le temple pour que son nom soit immortalisé (ce qui a été fait, puisqu'on le connaît plus de 2000 ans après). Détruit, incendié sept fois en dix siècles, le temple d'Ephèse est, sous l'empire d'Alexandre le Grand, l'une des Sept Merveilles du monde.





Description :



La magnificence du temple de Diane suscite une véritable admiration. L'Asie entière a mis 220 ans à le bâtir... Il est entouré de 127 colonnes... données par autant de rois. Les vicissitudes de l'histoire ne doivent pas faire oublier le rayonnement spirituel de la ville à ses différents stades. Les marchands grecs et romains avaient l'habitude d'offrir une partie de leurs gains à Artémis. Ephèse était célèbre dans l'Antiquité pour son culte rendu à Artémis dans un temple que sa somptuosité faisait classer parmi les Sept Merveilles du monde.

Le phare d'Alexandrie

Le célèbre phare d'Alexandrie, la septième merveille du monde antique, vit le jour sous Ptolémée II, près de la célèbre cité d'Alexandre le Grand : Alexandrie. Monument entouré d'un voile de mystère, il a inspiré de nombreuses légendes. Son aspect exceptionnel pour l'époque (il fut pendant très longtemps le plus haut monument du monde), lui conféra une aura particulière, peut-être tout simplement car le phare d'Alexandrie était alors le reflet d'un travail architectural phénoménal pour l'époque, avec une sobriété et une élégance éclatantes. Considéré comme la plus haute construction du monde durant l'Antiquité, et d'une finesse technologique rare, les scientifiques étaient nombreux à venir l'admirer car le miroir reflétait le foyer lumineux à plus de 50 kilomètres. Sa particularité tient également du fait que ce fut la seule merveille du monde à avoir une utilisation pratique.

On situe sa construction vers l'an 297 avant Jésus-Christ. C'est Ptolémée Ier qui en est l'initiateur. Il choisit l'île de Pharos comme emplacement. Le monument prend plusieurs années à se construire et il ne verra jamais l'œuvre finie. C'est son fils, Ptolémée II qui poursuivra sa construction et verra son achèvement. Représentation ultime de la puissance grecque qui s'était installée dans le pays, le phare fut à l'image de la ville d'Alexandrie : démesuré et impressionnant. D'où le dérivé dans notre langue contemporaine du mot phare dans le sens de la grandeur : " pharamineux " (écrit aussi faramineux).

Pendant des siècles, le phare sera le point de repère pour tous les marins d'Egypte. Mais des tremblements de terre éreintent considérablement le monument, notamment au IVe et au XIVe siècle. Il sera complètement détruit au XVe siècle lorsque l'un des derniers souverains mamelouks du pays décida d'y construire à la place une citadelle pour protéger la ville des invasions ottomanes. La petite histoire veut que le Fort Qaitbay, qui est désormais sur l'emplacement du phare, ai été construit en partie avec des blocs du phare récupérés.

Même si le phare a été détruit bien avant que les historiens s'y intéressent, on a pu retrouver de nombreux documents attestant de son existence et apportant une description assez précise du monument. Sa base carrée serait légèrement pyramidale, sa colonne octogonale, et une tour ronde distale surmontée d'une statue aurait été placée au sommet du phare (son identité porte à réflexion, certains parlent de Zeus, le Dieu des Dieux, d'autres de Poséidon, le dieu des mers). De plus, on peut estimer que le phare comptait trois étages distincts. Le phare d'Alexandrie, comme la ville qui l'accueille, était si admiré à l'époque qu'on a même retrouvé des objets en Afghanistan le représentant. Il a été source de nombreux textes et légendes, dont les historiens ne savent plus discerner le vrai du mystifié.

C'est à partir de la moitié du XXe siècle que l'on décide d'explorer les fonds marins près du site pour avoir plus de précision sur la célèbre septième merveille du monde. On y découvre de nombreux blocs de pierre et une statue d'Isis. Cette recherche sur le phare à même permis de faire remonter à la surface des colonnes datant de Ramsès II et Séthi Ier, sûrement importés dans la ville et utilisés pour de nouvelles constructions pendant la présence grecque.

Le phare d'Alexandrie, en partie englouti par les eaux, restera à tout jamais un mystère. Même si de nombreuses hypothèses se succèdent pour discerner ce à quoi il ressemblait à l'époque, jamais nous ne pourrons avoir une représentation exacte de ce qu'il fut. C'est ce qui fait sa force, a forgé sa légende, et en a fait l'une des merveilles du monde.

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Il n'y a pas de modèles précis sur lesquels vous pourriez vous baser pour écrire une lettre à vos trois stars favorites. Les fans, lorsqu'ils envoient une lettre à leur star préférée, laissent tout simplement parler leur coeur, et c'est ce que vous devriez faire aussi.

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lundi 26 septembre 2011

La migration des oiseaux et autres animaux

Les migrations sont nécessaires à certains animaux

La migration est le déplacement de certains animaux à une période de l'année, ou de leur vie, qui les incite à se déplacer vers un autre endroit, souvent éloigné. Cela, pour procéder à l'accouplement, fuir le froid, ou autre étape de leur vie animale.


Les animaux semblent subir des influences chimiques qui les poussent à migrer. Certaines choses déclenchent le besoin de faire la migration, comme la longueur de la durée du jour, la nécessité de plus de nourriture pour leur alimentation, ou le besoin de nourritures plus précises à leur développement. Il y a aussi le changement de la température, les saisons, le besoin d'aller s'accoupler à un certain endroit plus propice...

Les animaux migrateurs sont sûrement un bon exemple qui montre que les animaux savent ou ils vont quand ils effectuent la migration. C'est souvent un long voyage qui demande une énorme quantité d'énergie, mais qui est nécessaire aux animaux qui doivent le faire. Souvent, les animaux migrateurs se préparent en mangeant beaucoup pour accumuler des graisses qu'ils auront besoin pour avoir assez d'énergie pour le voyage.

La migration permet aussi à la sélection naturelle de faire son travail. Pendant le voyage, beaucoup seront capturés par des prédateurs, et les animaux faibles ne parviendront pas souvent à destination. Les plus forts finiront le voyage de migration et s'accoupleront pour avoir une progéniture plus résistante, et ainsi améliorer la descendance de l'espèce.

Ce ne sont pas seulement les oiseaux qui sont des animaux migrateurs, des insectes, des mammifères, des poissons... on remarque simplement plus le vol des oiseaux, comme la bernache du Canada, qui quitte la région pour l'hiver. Certains papillons quittent le Canada pour aller jusqu'au Mexique. Même certaines chauves-souris quittent le nord pour aller vers le sud en hiver.

Les poissons, comme la truite, le saumon... fait la migration de l'océan vers les cours d'eau douce, comme les lacs et les rivières, pour aller faire le frai, et ainsi se reproduire et faire la ponte des oeufs. Puis, une fois adulte, le poisson va vivre dans l'océan, pour finalement migrer pour revenir où il est né et se reproduire.
La migration est donc un moyen pour les animaux de se reproduire dans un environnement moins hostile et où la nourriture est plus abondante. Ils prennent donc avantage des conditions favorables d'autres régions, même bien éloignées, pour la sécurité ou la nourriture. Les migrations sont donc importantes pour permettre aux espèces animales qui migrent de survivre et de perpétuer leur race

Les animaux marsupiaux

L'animal marsupial n'est pas complètement formé à sa naissance

Les marsupiaux sont des animaux vertébrés de la famille des mammifères qui habitent principalement l'Australie en Nouvelle-Guinée et certaines parties tropicales de l'Amérique.


Une des particularités du marsupial est qu'il ne se développe pas complètement dans l'utérus de sa mère, comme les autres mammifères. Le bébé n'est pas complètement formé quand il naît et doit poursuivre sa formation dans le marsupium de sa mère.

Les kangourous sont bien connus, surtout à cause de la grande poche ventrale qui sert à transporter son petit. Le bébé termine son développement embryonnaire dans celle-ci après sa naissance.

Comme les autres animaux mammifères, le petit est nourri avec le lait de sa mère jusqu'à ce qu'il puisse se nourrir lui-même.

Les marsupiaux ont de la fourrure qui, comme pour les autres animaux, sert à conserver la chaleur, à se camoufler... Le petit bébé s'agrippe aux poils lors de sa naissance et de son chemin vers la poche ventrale ou il va trouver la mamelle qui va le nourrir.

Les animaux marsupiaux peuvent être herbivores ou carnivores selon leur espèce et comme les autres animaux, sont des proies et prédateurs.
La majorité des marsupiaux se retrouvent en Australie, qui est comme une île, ce qui ne leur a pas permis de se répandre dans le monde entier. Ils ont donc évolué dans cet environnement clos en s'adaptant à celui-ci.

Comme bien d'autres espèces animales, certains marsupiaux sont des animaux en danger d'extinction, soit par la chasse, ou la dégradation de leur milieu naturel causé par l'industrialisation.

Les animaux et la loi du plus fort

Dans la nature, c'est la loi du plus fort qui règne

Dans la nature, il existe une loi qui régit le règne animal et c'est la loi du plus fort. Naturellement, cette loi n'est pas exclusive aux races différentes d'animaux, mais aussi entre les individus d'une même espèce.


La loi du plus fort dans une même race d'animaux sert à favoriser l'accouplement des individus plus forts pour produire une descendance plus résistante et donc survivre à la sélection naturelle.

Dans le règne animal il existe deux types principaux d'animaux, les prédateurs et les proies. Mais un animal n'est pas nécessairement exclusivement un chasseur ou une proie, ils sont habituellement des prédateurs et des proies, sauf la majorité des animaux herbivores qui ne mangent que des végétaux. La coccinelle est un prédateur pour les pucerons, mais la proie des oiseaux, grenouilles...

La loi du plus fort n'est donc pas exclusive à un animal en particulier mais il peut être plus fort que bien des races, mais plus faible que bien d'autres. Certains animaux ne sont pas la proie d'autres animaux comme les grands félins, l'ours polaire et bien d'autres. Mais ils peuvent malgré tout être victimes de maladies de bactéries et infections qui les rendent aussi impuissants que tout les autres races d'animaux moins puissants.

Le mâle dominant d'un groupe d'animaux est le plus fort et c'est habituellement lui qui va s'accoupler avec les femelles du troupeau. Avec l'age, son règne aura une fin car un animal mâle plus jeune va éventuellement le détrôner et prendre sa place à la tête du clan. La loi du plus fort a donc une durée limitée et un animal ne sera plus fort que pour un certain temps.

Une race qui est plus forte, le sera habituellement pour longtemps car la sélection naturelle agit très lentement. Les changements de son environnement peuvent faire qu'il ne survivra pas, même si il était le plus fort, car son point faible est attaqué par les modifications de température, la quantité de proies qui constitue sa nourriture et bien d'autres.

En fait, les différentes espèces animales sont toutes fragiles à leur façon. Un changement qui semble insignifiant, peut décimer une race animale en quelques dizaines d'années si la race ne peut s'adapter. Bien des races d'animaux sont en danger d'extinction pour cette raison, qu'elle soit de source naturelle ou un résultat des modifications de l'homme sur leur environnement.

La loi du plus fort s'applique donc à la majorité des individus d'une race animale et pour ceux-ci, elle ne dure qu'un certain temps. Pour les races d'animaux, la loi du plus fort est plus permanente, car c'est le lot des individus en santé qui les rendent puissants, mais ils sont toujours à la merci de la sélection naturelle. Donc comme pour toutes choses, la loi du plus fort ne dure qu'un certain temps.

L'instinct animal pour la survie

L'instinct de survie des animaux est très puissant

L'instinct produit la réaction impulsive et souvent instantanée d'un animal face à un danger, un besoin, une peur... Les animaux n'ont pas la capacité de réfléchir longtemps quand un évènement particulier survient et c'est souvent par instinct de survie qu'il va se sauver ou attaquer. L'instinct est donc un système de réaction irréfléchie, mais souvent efficace, qui sert à l'animal pour survivre.


L'instinct de survie est sûrement le plus puissant. Face à des situations ou la vie d'un animal est en danger, celui-ci peut avoir des réactions surprenantes. De petits animaux vont s'attaquer à de prédateurs plus gros qu'eux, causant un effet de surprise sur l'attaquant, sans vraiment avoir pris de décision. L'animal ne voyant aucune autre solution que d'attaquer, malgré le très bas taux de chance de succès, son instinct de survie va prendre le dessus et essayer de le faire combattre son prédateur.
L'instinct maternel est sûrement le second plus fort des instincts animaux. Tout le monde sait qu'il faut en aucun cas approcher un bébé ours par exemple, sa mère qui est sûrement pas loin pourrait croire que vous voulez l'attaquer. La mère d'un animal va facilement voir toutes actions envers son petit comme une attaque et va, par instinct maternel, attaquer le ravisseur. Il arrive que cet instinct de protection des petits soit partagé, à un degré moins fort que la mère naturelle, à tous les membres d'un troupeau. Il faut toujours être prudent en présence d'un bébé animal.

L'instinct des animaux n'est pas souvent meurtrier dans le sens de tuer pour tuer. C'est habituellement l'instinct de survie qui prend le dessus quand l'animal prédateur a faim et il devient agressif pour l'inciter à tuer une proie pour se nourrir. Certains peuvent tuer plus de proies qu'ils n'en ont besoin sur le moment, c'est souvent que l'instinct agressif de l'animal est puissant.

L'instinct de reproduction est un des instincts les plus puissants. Dans un troupeau, l'instinct de reproduction et celui de la domination entraînent des batailles entre les mâles pour qu'un d'eux devienne le mâle dominant qui habituellement se réserve la tâche de perpétuer l'espèce. Le système qui déclenche le besoin de se reproduire est souvent fait par des hormones que la femelle produit et que le mâle détecte.

Mieux comprendre que les animaux sont souvent régis par leurs instincts permet de voir que l'animal n'est souvent pas un monstre, il essaye tout comme nous de survivre par les moyens dont il dispose. Nous pouvons faire des choix réfléchis, mais les animaux ne peuvent souvent que se fier à leur instinct animal de survie pour se sortir de la situation où ils se croient en danger ou menacent leur survie.

Les animaux insectivores

L'animal insectivore se nourrit d'insectes

Un animal omnivore est un animal qui se nourrit presque exclusivement d'insectes pour son alimentation. C'est souvent un petit animal qui capture des insectes plus petit que lui.


Les mammifères insectivores sont habituellement bienvenus, car ils éliminent les parasites des jardins ou des haies, mais dans le cas de la taupe, ce sont les galeries qu'elle creuse qui sont dommageables.

L'animal insectivore a souvent un museau allongé, comme le tamanoir, ou la musaraigne. Leur vision est souvent médiocre, mais leur odorat est excellent, ce qui devient leur moyen de détecter leurs proies.

D'autres animaux, comme la chauve-souris ont une ouïe extraordinaire. Celle-ci détecte les insectes en vol la nuit grâce à ses oreilles qui agissent comme un radar.

Les dents sont faites pour écraser et percer la carapace des insectes. Certains animaux sont des édentés qui mangent des quantités énormes de petits insectes pour leur alimentation, comme le fourmilier.

L'animal insectivore de petite taille est souvent rapide, car il n'est souvent équipé que de griffes, souvent seulement utile pour creuser comme dans le cas de la taupe. Donc ils prennent souvent en fuite face à un prédateur.

L'animal insectivore est donc un prédateur et une proie dans la chaîne alimentaire. Il n'est pas toujours équipé de dents, mais a souvent des griffes et il est rapides. Ils sont des prédateurs seulement pour les insectes, et sont la proie des prédateurs carnivores.

Des insectes dans la maison

Comment se débarrasser des insectes qui entrent dans la maison

Les insectes finissent toujours par entrer dans notre maison, que ce soit par une porte ouverte ou un autre moyen d'accès. Selon le type d'insecte, il peut s'installer et proliférer, et même aller à l'infestation.


La première chose à faire, c'est naturellement de les empêcher d'entrer dans votre maison. Vérifiez que la fondation de votre résidense n'est pas craquée, qu'il n'y a pas de trous autour des renvois de sécheuse et autres. Si vous trouvez des endroits où les insectes peuvent passer, colmatez les fissures et les trous.
Une autre cause pour avoir des insectes dans la maison est de rentrer et sortir des plantes en pots, comme un hibiscus par exemple. Quand vous sortez des plantes, les insectes vont naturellement s'installer dans le feuillage et dans la terre. Vous devez donc vous assurer de vous débarrasser des insectes qui se sont installés dans vos plantes avant de les rentrer pour l'hiver.

L'utilisation de moustiquaires va habituellement empêcher les insectes volants d'entrer quand vous aérez votre maison. Naturellement, l'entreposage adéquat des déchets et de la nourriture va aider à limiter l'intérêt et la disponibilité aux visiteurs nuisibles.

Un autre facteur qui aide à garder les insectes hors de votre maison est de conserver un taux d'humidité normal. En été, le taux d'humidité augmente, ce qui favorise la vie et la reproduction des insectes de maison. Le cloporte est un crustacé terrestre qui a besoin d'un milieu humide et ne survivra pas dans un environnement sec. C'est pourquoi bien des insectes ne survivent que dans votre sous-sol qui est habituellement plus humide. Utiliser un deshumidificateur va permettre d'enrayer les insectes qui ont besoin d'humidité.

Pour limiter la quantité de fourmis, boucher les trous d'accès va aider, mais il faut aussi se débarrasser des nids qui se trouvent sur votre terrain, dans les plates bandes, sur les rebords du stationnement... car une fourmi essaye de se procurer la nourriture assez près. Un mélange assez concentré d'eau et de vinaigre devrait les faire fuir.
Les araignées de maison seront en grande quantité quand il y a assez de proies pour que celles-ci puissent survivre. Quand vous avez beaucoup d'araignées, c'est donc que votre maison contient beaucoup d'insectes, et vous devez donc commencer par éliminer ceux qui constituent leurs nourritures. Une fois les cloportes, fourmis, et autres insectes éliminés, les araignées ne pourront pas survivre longtemps. Il faut donc commencer par éliminer les proies avant de tuer les prédateurs qui vous aident dans le fond.

Certains insectes sont difficiles à éliminer, comme les cafards ou les punaises de lit par exemple. Il faut alors utiliser des produits insecticides, et parfois avoir recourt à un spécialiste de l'élimination d'insectes parasites. Une bonne prévention, en bouchant les points d'entrée, en gardant les aliments bien scellés, les ordures hors de portée, et en contrôlant le taux d'humidité de votre demeure, vous pourrez mieux garder les insectes hors de votre maison.

Les insectes de l'ordre des hyménoptères

Les hyménoptères semblent n'avoir que deux ailes

Les insectes de l'ordre des hyménoptères (Hymenoptera), sont des animaux invertébrés dont les ailes sont membraneuses, et au nombre de quatre. Cependant, ils n'en portent pas tous, comme certaines classes de fourmis aux tâches bien définies qui ne nécessitent pas de voler.


Selon l'espèce, ce sont des insectes très utiles, car ils aident à la pollinisation des plantes, comme les abeilles et les bourdons. D'autres sont nuisibles, comme les larves de Pamphiliidés qui s'attaque au feuillage, et celles des Siridés qui attaquent le bois. Les mouches à scie perforent les végétaux pour y déposer les oeufs dont les larves vont ensuite infester la plante.
Quand on observe une abeille, on voit bien qu'elle ne semble avoir que deux ailes. Elle en a pourtant quatre, mais les paires de chaque côté de son corps sont liées ensemble par une sorte de petits crochets. Les ailes n'ont pas la même grosseur, les supérieures étant plus grosses.

La bouche de ces insectes est généralement faite pour broyer et lécher. Ils peuvent se défendre en infligeant des piqûres. Pour la majorité, ce ne sont pas des insectes dangereux, sauf pour les gens allergiques aux piqûres d'hyménoptères.

Il faut cependant les provoquer pour qu'ils s'attaquent à nous. Comme la majorité des animaux, ils sont curieux, et quand ils tournent autour de nous, c'est plus par curiosité. Il suffit de ne pas faire de mouvements brusques, et l'insecte s'en ira après avoir constaté qu'on n'est pas intéressant.
L'ordre des hyménoptères comprend deux sous-ordres, les symphytes (Symphyta) et les apocrites (Apocrita). Les deux sous-genres se différencient par la jonction entre le thorax et l'abdomen de l'insecte. Les symphytes ont une taille plutôt égale, mais les apocrites ont une taille qui est beaucoup plus distincte, car plus petite, d'ou l'expression: "avoir une taille de guêpe".

Les différentes familles de l'ordre des hyménoptères ont un mode de vie, et un milieu, qui diffère d'une espèce à l'autre. Par exemple, les guêpes construisent un nid dans une branche d'arbre, et passent leur vie à voler et travailler sur la ruche. Les fourmis vivent dans un nid creusé dans le sol, et elles marchent pour aller chercher et accumuler la nourriture qui va leur permettre de survivre l'hiver.

Comme les autres insectes, ils ont six pattes, passent de l'oeuf à la larve, avant de devenir un adulte. C'est souvent à la phase larvaire qu'ils sont nuisibles. Comme plusieurs sont recouverts de poils une fois adulte, le pollen s'y colle, et c'est de cette façon qu'ils le transportent de fleur en fleur, et deviennent ainsi des agents pollinisateurs.

La vie des hyménoptères est assez courte, et ne dure en général qu'une saison dans les endroits tempérés.

Les punaises sont des insectes de l'ordre des hémiptères

Plusieurs espèces de punaises sont des parasites

Les punaises sont des insectes de l'ordre des hémiptères qu'on retrouve partout dans les régions non-arctiques du globe. Il en existe une grande quantité d'espèces aux formes et aux moeurs différentes.


Certaines punaises sont herbivores, et d'autres, carnivores. Certaines espèces herbivores sont de véritables parasites, qui en groupes, peuvent décimer les plantes d'un jardin ou les récoltes des cultivateurs.
D'autres sont appréciés, car elles sont carnivores et chassent d'autres insectes pour s'en nourrir, comme la punaise embusquée, qui va même jusqu'à capturer de gros insectes comme des bourdons.

Les punaises passent par plusieurs stades de mues entre l'oeuf et l'insecte adulte. C'est souvent à l'état de larve qu'elle inflige le plus de dommages à la végétation.

Les caractères physiques et couleurs changent d'une espèce à l'autre, et leur mode de vie varie selon leur alimentation. Certaines sont d'un rouge très voyant, et d'autres sont très bien camouflées.

Certaines punaises sont terrestres et affectionnent les plantes et les fleurs. Il y a des espèces qui sont des insectes aquatiques, comme la punaise à aviron qui nage sur le dos dans les étangs, ou le patineur qui y flotte.

Il y a naturellement la punaise de lit que l'on redoute, car elle peut s'installer dans une maison pour ensuite en parasiter les habitants. Elle piquent pour aspirer du sang et ainsi pourvoir procéder à la ponte, un peu comme les maringouins.
Certaines punaises, comme la punaise de lit, les punaises d'eau comme les naucores et les scorpions d'eau, les punaises assassines... peuvent mordre quand on les manipules. D'autres, sécrètent une substance qui est malodorante. Il est donc préférable d'utiliser des gants quand on veut les manipuler.

En général, les punaises ne sont pas dangereuses, sauf pour transférer des maladies lors de morsures. Elles sont une grande source de nourriture pour les grenouilles, les oiseaux, et bien d'autres animaux qui s'en nourrissent.

L'évolution des animaux

L'évolution des espèces animales dans la nature

L'évolution est par définition le changement que subissent les choses avec le temps. Pour les animaux que l'on retrouve maintenant sur le globe, ils sont les survivants d'évolutions naturelles déterminées par la sélection naturelle qui a éliminé les espèces moins adaptées.


L'évolution d'un animal va donc permettre à une race de survivre ou de simplement disparaître. Un exemple frappant de l'évolution est la girafe, qui grâce à son long cou, peut manger la végétation plus haute dans les branches, ce qui a permis à son espèce de survivre.
La sélection naturelle permet d'éliminer les individus faibles, mais aussi les bêtes infirmes qui sont diminués par leur malformité. Cependant, certaines mutations vont aider l'individu à mieux survivre, et possiblement passer aux générations qui suivent.

L'observation des fossiles et des différents genres d'animaux qui forment une même famille, à permis de détecter certaines espèces qui sont le produit d'évolutions d'autres animaux plus anciens.

Un exemple assez facile à comprendre de l'action de l'évolution, mais en vitesse plus rapide, c'est le croisement des chiens de race. Selon l'utilité du chien, on procédait au croisement de races qui avaient les caractéristiques que l'on voulait obtenir pour l'animal à produire. Donc, des chiens de petite ou grande taille, au poil long ou court, agressifs ou affectueux... Après plusieurs générations de croisements, on finissait par obtenir une nouvelle race de chien. C'est une évolution forcée par l'homme, en sélectionnant les individus du croisement, pour obtenir un nouvel animal. La même chose se fait pour les bovins, les chats...

L'évolution naturelle des animaux est simplement dictée par les changements du milieu, de la nourriture, la température, et les mutations accidentelles de la race. C'est donc un processus naturel très lent. La création d'une nouvelle race animale peut prendre des milliers d'années, mais en décimer une peut se faire en quelques saisons. Les races d'animaux en danger d'extinction sont un bon exemple de sélection, même si la cause en est l'homme, ils ne peuvent simplement plus survivre à leur milieu en changement.

L'ADN à aussi permit de mieux comprendre l'évolution des races animales, et végétales, en permettant de mieux identifier les membres d'un même genre. Il arrivait fréquemment que certains spécimens soient joints à une famille, par des traits physiques, pour ensuite voir que l'ADN pointait vers une race différente.

L'évolution est aussi observable plus rapidement dans le cas des bactéries et des microbes. La grippe saisonnière est une mutation de la précédente, qui est assez différente pour que le système immunitaire doive développer un nouvel anticorps. Dans le cas d'animaux plus développés, le changement est plus lent et se fait habituellement d'un organe à l'autre.

L'utilisation d'un organe qui est nécessaire à la survie d'une race détermine sa persistance, car une mutation qui diminue cette fonction met l'individu plus à risque. Si cet organe s'améliore, il est possible qu'il aide cet individu à survivre, et que sa descendance portent ce nouveau caractère. Si l'amélioration est assez marquée, l'organe modifié peut sauver plus d'individus mutants et finir par devenir dominant pour cette race.

L'organe qui n'est plus vraiment utilisé de façon vitale peut s'atrophier sans risquer la vie de l'animal, et donc devenir une autre mutation viable. Avec le temps et bien des générations, il est possible que l'organe disparaisse complètement, pour encore donner une nouvelle race.

La sélection naturelle va donc déterminer l'évolution d'une race, en éliminant les individus faibles qui perdent des aptitudes, et en conservant seulement les individus qui réussissent à survivre ou ont des mutations positives. C'est selon cette théorie que l'évolution aurait débuté par les unicellulaires, pour ensuite donner les micro-organismes, les poissons, les batraciens, les reptiles... jusqu'aux animaux complexes d'aujourd'hui.

L'évolution animale est donc plus faite de façon à améliorer les espèces animales, car les mutations négatives sont habituellement moins viables dans la nature. Même si l'évolution tend à améliorer une espèce, un caractère dominant qui n'aide pas, mais ne nuit pas non plus, peu prendre place dans l'évolution d'une espèce. C'est simplement un trait physique qui n'entraîne pas de conséquences néfastes ou positives sur l'évolution et la vie sauvage de l'animal.

Les animaux en danger d'extinction

Beaucoup d'espèce d'animaux sont en danger

Beaucoup d'espèces d'animaux sont en danger d'extinction. La nature a toujours éliminé des espèces et d'autres sont apparues grâce à la sélection naturelle. A mesure que le climat de la terre changeait, les races d'animaux s'adaptaient ou disparaissaient, mais le processus était naturel et durait des milliers d'années.


Depuis que l'homme a inventé les armes, pièges et autres techniques rudimentaires pour capturer les animaux qui servaient à sa survie, il n'était qu'un mécanisme normal de la sélection naturelle.
Avec l'augmentation constante de la quantité des individus humains, l'équilibre a lentement changé.

L'environnement naturel de bien des races est affecté par la constante progression des villes qui bouleversent leur habitat naturel. Ils doivent donc fuir et se déplacer et bouleverser l'environnement d'autres espèces. L'exploitation forestière comme l'Amazonie détruit leur habitat comme un tremblement de terre pour nous.

Éliminer une espèce d'insecte enlève de la nourriture pour bien des animaux. Certaines espèces qui mangent exclusivement d'un type d'insecte peuvent disparaître si l'insecte qui constitue leur alimentation disparaît. Naturellement, l'animal qui disparaît par le manque d'insectes cause un manque de nourriture pour les animaux qui se nourrissaient de celui-ci qui se répercute sur toute la chaîne alimentaire.

La pollution, déversements de produits et bien d'autres comportements humains, participent à modifier l'environnement et influencer l'équilibre des différentes races animales. Le braconnage participe à la disparition des derniers individus des espèces en voie de disparition. Une fois qu'une espèce animale est disparue, c'est fini elle ne reviendra plus.

Il faut donc réaliser que nous devons tous essayer de faire notre part pour empêcher la disparition d'espèces en voie d'extinction, que ce soit en recyclant ou en marchant pour aller au dépanneur au lieu d'y aller en voiture. Toutes les petites actions accumulées peuvent faire une différence et aider à ralentir la disparition d'espèces animales en danger d'extinction.




Finalement, avec la technologie, l'équilibre est complètement ébranlé pour bien des espèces d'animaux sauvages, quand l'homme commence à se déplacer d'un continent à l'autre, et à emporter de races d'animaux, plantes, bactéries et virus qui étaient inexistants avant leur arrivée. Mais, à cette époque, on ne connaissait rien de l'équilibre naturel ou des virus.

Faire l'élevage d'animaux

L'élevage d'animaux est exigeant

Faire l'élevage des animaux est une tâche assez ardue. Dresser un chien, un chat ou un autre animal domestique prend un certain temps, mais une fois adulte et dompté, l'animal de compagnie est bien agréable. Un éleveur doit constamment recommencer car il vit de la vente des produits ou des animaux dont il fait l'élevage.


L'élevage de cheval a commencé par les chevaux sauvages. Il fallait les dompter et les habituer à l'homme avant de pouvoir les monter ou les faire travailler. Les chevaux domestiques naissent en captivité et sont habitués dès leur naissance à côtoyer l'homme et le domptage est donc plus facile.
L'élevage de vaches laitières est un travail continuel qui ne peut pas être interrompu pour des vacances par exemple. Il faut traire les vaches deux fois par jour et aux mêmes heures ou elles vont arrêter de produire du lait. Donc s'il faut traire les vaches à 5 heures du matin, il faut le faire tous les jours à cette heure.

L'élevage d'oiseaux comme les perroquets, les oiseaux de proies et autres est aussi un travail exigeant. Il faut souvent procéder à l'accouplement, puis souvent séparer les males des femelles, et ensuite s'occuper des oisillons. Il faut donc beaucoup de cages pour oiseaux et naturellement l'espace pour celle-ci. Naturellement, les oiseaux chanteurs ou crieurs sont bruyants et leur élevage nécessite de la patience.

Un autre élevage qui est particulier est le chien d'aveugle. Les chiens sont passés par une batterie de tests et la sélection des individus propices à devenir chien-guide est très strict car la vie d'un aveugle en déprend. L'entraînement est long et si le chien ne peut pas accomplir un exercice, il est rejeté. Le domptage de chien d'aveugle est un travail ou il faut être encore très patient.

L'élevage des animaux de ferme comme le porc, les volailles, les boeufs et autres, sont comme pour un animal de compagnie, sauf qu'il est à plus grande échelle. Il faut les nourrir, les laver, changer leur litière, leur donner de l'eau, les soigner s'ils ont des maladies ou autres problèmes. C'est encore un travail exigeant qui doit être fait continuellement et nécessite des espaces appropriés pour loger les animaux.

Certains ont des élevages particuliers, comme l'élevage d'escargot, un met raffiné, ou élever des autruches pour leur chair et les plumes qui sont assez recherchées. L'élevage de bisons est plus fait pour sauvegarder l'espèce qui a presque été éliminée par la chasse, que pour le commerce. L'importation des perroquets étant beaucoup réglementée, l'élevage local d'espèces exotiques est souvent une des seules façons de pouvoir obtenir ses animaux.

L'élevage de poissons pour ensemencer les cours d'eau est très dispendieux. La réglementation de la chasse et la pêche est pour éviter d'épuiser la faune en protégeant les individus d'une espèce à certaines périodes critiques de leur vie et développement. Le non respect des lois de chasse et pêche s'appelle le braconnage et est un fléau pour les espèces en voie de disparition. Il faut donc faire l'élevage d'espèces comme le bison pour qu'ils ne disparaissent pas et les réintégrer à la faune.

Les animaux de l'ordre des diptères

Les diptères sont des insectes à deux ailes comme la mouche

L'ordre des diptères, diptera, comprend des animaux invertébrés, de la classe des insectes, dont les plus connus sont sûrement les mouches domestiques.


Les diptères passent par différentes métamorphoses avant de devenir l'insecte ailé adulte. L'oeuf devient une larve qui va dévorer les végétaux, ou d'autres larves, pour devenir l'insecte adulte, qui est souvent moins destructeur.
Comme les autres insectes, les diptères ont six pattes, et portent aussi des ailes pour voler. Cependant, un diptère n'a que deux ailes, contrairement à d'autres, comme la libellule, qui en a quatre. L'évolution a transformé une des paires d'ailes en balanciers qui aident ce diptère à voler avec une meilleure stabilité.

L'ordre des diptères comprend beaucoup d'insectes irritants, comme les mouches, les moustiques, les maringouins, et naturellement les mouches noires et les taons. On va souvent devoir utiliser un répulsif à insectes pour les éloigner lors de balades en forets.

Ces insectes qui piquent, ou se promènent sur la nourriture, participent à la propagation de maladies, de bactéries et de virus qui sont néfastes pour l'homme. Ils sont aussi des pollinisateurs importants, ainsi qu'une source importante de nourriture pour les oiseaux, les araignées, les poissons, les grenouilles... et autres animaux insectivores.

L'alimentation des diptères dépend de l'espèce. Les mouches domestiques se nourrissent de tout ce qui leur est accessible, mais elles ne piquent pas. Les tipules aspirent du nectar, mais d'autres comme les mouches noires, les brûlots et les frappe-à-bord, eux, se nourrissent en piquants des animaux.

Une autre caractéristique des diptères c'est l'utilisation d'une trompe pour se nourrir, que ce soit pour aspirer le nectar des fleurs, ou pour piquer un animal et boire son sang. Les antennes sont souvent très petites et courtes.

Il existe une multitude de familles et d'espèces de diptères. Les plus indésirables sont naturellement les insectes qui infligent des piqûres, et ceux qui nous irritent en nous tournant autour.

Les animaux crustacés

L'animal crustacé est un invertébré

Les animaux crustacés sont des invertébrés dont le corps est rigide grâce à la carapace qui les forme. Les crustacés sont des animaux aquatiques, sauf le cloporte qui s'est adapté à la vie terrestre.


L'animal est formé de segments rigides qui remplacent le squelette, car ce sont des animaux invertébrés. Ils sont souvent classés près des insectes car ils ont un exosquelette, des antennes, et plusieurs paires de pattes.
Le crustacé aquatique respire à l'aide de branchies. Certains, comme le homard, ont un thorax et une queue qu'ils peuvent articuler pour se propulser dans l'eau. Le homard a deux pinces qui lui servent a broyer et saisir de la nourriture. Il a 5 paires de pattes pour se déplacer.

Les crustacés sont équipés de deux paires d'antennes qui leur servent à toucher et sont sensitives.

Les deux yeux sont montés sur des pédoncules et peuvent être bougés de façon indépendante car il sont mobiles.

L'alimentation des crustacés est en filtrant l'eau dans le cas des crevettes, ou détritus et autre nourriture qu'ils trouvent dans le fond de l'eau pour les écrevisses. Ils sont des animaux qui nettoient l'eau et le fond marin.

Le homard, l'écrevisse, le crabe, les crevettes sont utilisés pour notre nourriture et les mets gastronomiques.

La chasse

La chasse était nécessaire, mais est maintenant plus un sport

La chasse existe depuis bien avant l'apparition de l'homme, car les animaux carnivores, ou omnivores, devaient chasser afin de se nourrir. Dans le règne animal, les insectes, les oiseaux, les poissons et naturellement les mammifères doivent donc chasser pour subvenir à leurs subsistances.


La chasse dans le règne animal est faite de bien des façons, selon l'animal et sa façon de chasser. Par exemple, l'araignée tisse une toile, puis attend patiemment qu'un insecte s'y colle. La mante religieuse reste immobile, et quand un animal passe trop près, celle-ci le capture. Attendre immobile qu'une proie passe est une technique de chasse beaucoup utilisée dans la nature.
Mais il y a aussi la chasse plus active, comme celle que les félins utilisent, pour capturer un repas. Ils se tapissent derrière les obstacles, et avancent lentement jusqu'à ce qu'ils soient assez près pour bondir sur leurs proies. Ils sont donc des animaux rapides pour procéder de cette façon.

Les oiseaux capturent les insectes en vol, et certains plongent pour attraper les poisons qui ignorent le danger qui les guette de la surface. D'autres, comme le pic-bois, vont capturer les insectes qui se cachent dans l'écorce d'un arbre en frappant le tronc pour les déranger. Les poissons ont aussi des techniques pour cerner les bancs de poissons, comme les dauphins qui travaillent en groupe pour mieux contrôler leurs proies. Les fourmiliers ont une longue langue qui sert à capturer les fourmis dans les galeries de la fourmilière, le hibou et la chauve-souris peuvent chasser la nuit... bref, les animaux ont des techniques et des aptitudes qui leur permettent de chasser pour subvenir à leur alimentation.

L'homme, n'étant pas un coureur rapide, n'ayant pas de griffes, ne pouvant pas sauter loin ou bien haut, a dû développer des techniques de chasse qui lui permettais du survivre. L'arme de chasse est ce qui lui a permis de pouvoir subvenir à ses besoins. La lance, l'arc, et finalement, la carabine de chasse, a été utilisé et amélioré avec le temps, pour pouvoir capturer des proies d'une plus grande distance. Maintenant, les carabines sont très puissantes et sont souvent équipées de lunettes d'approche, qui permet de tirer sur un gibier d'encore plus loin.

Naturellement, la chasse est devenue plus facile, avec les fusils et les leurres qui sont encore plus efficaces, et elle est maintenant réglementée, pour ne pas éliminer une espèce animale. Des saisons de chasse, des interdictions de tuer les femelles, un quota maximum... sont certaines des règles qui sont imposées aux chasseurs. Ne pas respecter les règlements de chasse, ou de pêche, est ce qu'on appelle le braconnage, qui est naturellement contre la loi.

La chasse aux canards, la pose de collets pour capturer des lièvres, l'utilisation d'un arc ou une carabine pour chasser le chevreuil... sont toutes réglementés, et il faut absolument savoir se qui est permis et pendant quelle période de temps. La saison de chasse permet d'éviter de tuer des animaux qui sont en période de reproduction ou en gestation, et ainsi permettre à l'espèce de se reproduire et maintenir la population. Il faut donc respecter les règles de chasse pour ne pas nuire à l'espèce et devenir, probablement sans le savoir, un braconneur.

La chasse était pour subvenir à nos besoins alimentaires, mais elle est beaucoup pratiquée comme un sport maintenant. L'équipement, les armes, les permis, et tout les autres frais qui en découlent le rendent assez dispendieux. Il faut naturellement avoir un permis de port d'arme de chasse, et avoir une formation sur les mesures de sécurité de son utilisation, que ce soit un fusil ou un arc. Dans le bois, il faut avoir des vêtements voyants, pour ne pas être confondu avec un animal par un autre chasseur.

Il faut donc être au courant des lois et règles de chasse, avoir les permis, avoir la formation sur l'utilisation d'armes et sur la sécurité. C'est une activité qui permet de s'approcher de la nature, qui permet un retour aux vieilles traditions, et si vous avez capturé une proie, avoir quelques repas que vous n'obtiendrez pas au restaurant. La chasse au chevreuil, à l'orignal, à la bernache, au canard... est bien populaire au Canada, et si les gens respectent les règles qui permettent de préserver la quantité d'individus, ils pourront pratiquer cette activité plus longtemps.

La chaîne alimentaire de la nature

La chaîne alimentaire des animaux

Les animaux se nourrissent de végétaux, d'autres animaux ou les deux, selon le groupe dont ils font partie. Certains animaux sont des prédateurs pour certaines races et, pour d'autres ils sont des proies. Cela dépend de leur grosseur, leurs habitudes alimentaires et bien d'autres facteurs. Mais ils ont tous une place dans la chaîne alimentaire.


La chaîne alimentaire est le processus qui fait qu'un animal est la nourriture d'un autre, et que cet autre animal est lui aussi la nourriture pour d'autres espèces et ainsi de suite. Par exemple, le puceron est mangé par la coccinelle qui est attrapée par l'araignée qui est la nourriture d'un oiseau qui devient la proie d'un renard... et ainsi de suite. C'est la loi du plus fort qui mange le plus faible.
L'animal herbivore mange des végétaux, comme l'herbe, l'écorce, les feuilles... les plantes sont donc la base de la chaîne alimentaire pour les herbivores. Pour les carnivores, ce sont les insectes et d'autres animaux plus petits qui sont la base de leur alimentation. Les bêtes plus grosses ne sont pas épargnées, car un groupe de prédateurs plus petits peuvent venir à bout d'animaux plus gros qu'eux.

Tout est réutilisé dans la nature et les animaux et végétaux finissent toujours par être le repas d'une autre espèce animale. L'éléphant n'a pas de prédateurs naturels, mais quand il meurt, il devient le festin des animaux charognards. Les restes trop petits pour nourrir un animal seront la proie des mouches et autres petits insectes.

Donc tous les animaux seront la nourriture d'autres espèces et ils ont tous une place dans la chaîne alimentaire. Enlever une espèce à des répercussions sur le reste de la chaîne qui en dépend pour se nourrir. Le plancton marin qui est minuscule sert de nourriture aux baleines qui doivent en manger des quantités énormes pour s'alimenter. Vous enlevez le plancton et les baleines disparaissent car elles ne peuvent plus se nourrir.

Un des problèmes de la chaîne alimentaire est que tout est mangé d'un animal à l'autre pour finir par les animaux qui ont moins de prédateurs comme l'homme. Quand un animal mange un insecte, il le digère pour pouvoir utiliser les composantes des cellules de l'insecte pour son propre organisme. Certains produits de la pollution, comme le plomb, ne sont pas facilement éliminés par le système digestif et vont infecter l'animal. Un oiseau qui s'alimente d'insecte contaminé à l'insecticide ou autre produit sera donc lui aussi contaminé. Si un loup mange cet oiseau, il sera donc lui aussi contaminé et ainsi de suite.

La chaîne alimentaire commence par les bactéries et autres insectes microscopiques qui décomposent les carcasses ou les excréments. Ils sont à leurs tours mangés par des vers de terre, les oiseaux... jusqu'aux gros animaux qui meurent pour nourrir les charognards et bactéries qui recommencent le cycle continuel de la chaîne alimentaire.

Les animaux cervidés

Les cervidés sont des animaux herbivores à sabots

Les animaux cervidés sont des mammifères herbivores qu'on retrouve un peu partout dans le monde. Ils sont habituellement de grande taille, sauf les poudous et les mazamas qui vivent en Amérique du Sud.


Les cervidés ont une fourrure habituellement de couleur brune, et certaines espèces, comme le daim ou le cerf-axis, ont un pelage tacheté de points plus pâles. Les mâles portent des bois sur la tête, sauf pour quelques espèces comme le porte-musc. Les femelles n'ont pas de bois, sauf pour les caribous qui ont tous des bois pour se défendre contre les prédateurs.

Comme les autres animaux mammifères, le petit est nourri avec le lait de sa mère, la biche, jusqu'à ce qu'il puisse se nourrir lui-même. Comme ce sont des proies faciles, les petits doivent pouvoir marcher quelques minutes après la naissance pour suivre le troupeau.

Les cervidés sont des animaux qui se regroupent en troupeaux qui sont conduits par un mâle dominant. C'est habituellement ce mâle qui va s'accoupler et perpétuer l'espèce avec ses caractères de dominance qui lui permet de mieux survivre.
Ils passent la journée à brouter de l'herbe dans les champs, manger le feuillage des arbustes ou des branches d'arbres qui sont à leur portée. Ce sont des animaux ruminants.

Les loups, les ours, les chacals et beaucoup d'autres prédateurs sont toujours à l'affût pour capturer les individus malades, faibles ou les petits qui courent moins vites. C'est une des raisons pour qu'ils se tiennent en bandes et ainsi diminuer les chances de devenir victime d'un petit groupe de prédateurs. Si la menace est trop grande, le groupe s'enfuit et les prédateurs isoleront un individu pour en faire leur repas.

Comme ils doivent souvent s'enfuir, les cervidés sont de bons coureurs et peuvent faire de grands bonds. Les sabots peuvent infliger de vilaines blessures, et ils peuvent facilement ramasser un prédateur avec leurs bois et le projeter à l'arrière avec force.
La majorité des cervidés sont chassés par l'homme pour la viande et la fourrure. Les bois servent souvent de trophée de chasse. Le chevreuil, l'élan, les cerfs, ont leur saison de chasse, qui est bien contrôlée pour conserver la population stable. Le braconnage est toujours un problème que les garde-chasse doivent surveiller.

Certaines espèces sont conditionnées pour endurer un grand froid, et d'autres ne sont présentes que dans les régions chaudes.

Les animaux carnivores

L'animal carnivore se nourrit de viande

Un animal carnivore est un animal qui se nourrit presque exclusivement de viande. Souvent c'est un prédateur comme un félin qui chasse des proies vivantes, mais les restes sont disputés par les charognards.


Chez les mammifères carnivores, les dents carnassières sont faites pour découper la viande des proies. Les animaux carnivores le sont à cause de leur adaptation à consommer de la viande et de digérer des cellules animales.
L'animal carnivore n'est pas nécessairement un prédateur, la hyène est un charognard et va se contenter d'une dépouille, avant de chasser de petits animaux.

Un carnivore est un animal opportuniste comme la majorité des animaux, donc un petit repas de fruits ou autre nourriture qu'il est capable de manger et digérer ne sera pas de refus. Mais en règle générale, il va se nourrir d'un repas de viande.

L'animal carnivore est équipé de la mâchoire, les dents, le système digestif et autres caractères qui lui permet de se nourrir exclusivement de viande et d'en obtenir toute la nutrition dont il a besoin.

Les insectes et les plantes carnivores ne se nourrissent que de matières vivantes, comme la coccinelle qui se nourrit principalement de pucerons. C'est que leur système digestif est fait pour utiliser des matières provenant d'autres animaux pour fournir leur corps des constituants qui sert à le garder en forme.

Naturellement, l'animal carnivore est souvent plus haut dans la chaîne alimentaire, car il se nourrit des herbivores, ou autres carnivores dont il peut en faire ses proies.

Le braconnage dans la chasse et la pêche

Le braconnage est de chasser ou pêcher illégalement

Le braconnage est l'action de ne pas respecter les règles établies pour le contrôle de la chasse et de la pêche. Le braconnier va utiliser des outils, leurre, ou chasser un animal pendant que la saison de chasse n'est pas ouverte. Capturer plus que la quantité permise est du braconnage. Chasser les femelles quand seuls les mâles peuvent être tués est encore l'action de braconner.


Il est important de respecter les règles de chasse, car elles sont souvent établies sur la population actuelle de la proie, et ainsi assurer une disponibilité pour les prochaines saisons de chasse. Si la chasse des femelles n'est pas permise, c'est que la quantité de femelles n'est pas assez haute pour permettre d'en chasser.
Avant les armes à feu et la prolifération de notre population, le braconnage n'était pas vraiment un gros problème. Les animaux avaient bien du terrain et des chances contre les moyens moins efficaces comme la carabine de chasse. La capture d'un animal à cette époque, signifiait souvent la survie de sa famille. Maintenant, c'est pour le sport et les trophées.

Le braconnage existe dans les pays industrialisés, mais pas comme en Afrique et d'autres pays pauvres. En Afrique, un braconnier va obtenir plusieurs années de son maigre salaire pour des défenses d'éléphant, une peau de tigre, une même les mains d'un gorille. Il est difficile pour ce braconnier de résister de chasser des espèces animales protégées.

L'utilisation d'armes, de leurres, ou outils interdits pour la chasse ou la pêche est aussi du braconnage. Par exemple, il est souvent interdit d'utiliser des leurres vivants, comme des ménés pour la pêche. Chasser la nuit avec une lampe de poche est illégal, car l'animal fige comme hypnotisé par la lumière. Encore la bataille est perdue pour l'animal qui fige sur place.

Braconner est payant pour ceux qui le font, car des gens achètent leurs proies ou produits. Une personne qui désire avoir une peau de lion dans son salon va payer le prix pour faire abattre le dernier lion, car il peut la payer. Que la race soit menacée ne fait que faire monter les prix pour eux, quand la race sera disparue, elle vaudra encore plus cher.

La bataille pour la survie des animaux est loin d'être terminée. De plus en plus d'espèces animales sont en danger d'extinction. L'expansion des villes, les changements de leur environnement... et naturellement le braconnage va nous priver de bien des races animales qui ne pourront pas, sans notre aide, survivre.

Les animaux de la classe des arthropodes

L' animal arthropode est un invertébré à squelette externe

La classe des arthropodes est le plus grand groupe d'animaux, car il comprend les insectes, un bon nombre d'animaux invertébrés, dont les araignées, les mille-pattes, les crustacés...


La première des caractéristiques apparente d'un animal arthropode, c'est que ce sont des animaux dont le corps est formé d'un squelette externe à partir de chitine, que l'animal produit.
Cette membrane plutôt souple se recouvre souvent ensuite de calcaire, pour devenir rigide et servir de protection.

La seconde est qu'ils ont trois paires de pattes articulées et plus.

Les animaux de la classe des arthropodes sont formés de plusieurs segments, comme pour les mille-pattes, ou simplement d'un thorax qui porte les pattes, la tête, et l'abdomen, comme dans le cas des faucheurs.

Les différents systèmes, nerveux, circulatoires, de reproduction... sont bien formés.

Selon l'espèce, le développement est différent. Pour certains, comme les insectes, ils passent de l'oeuf à la larve, puis, après les différentes métamorphoses, devient un animal adulte. Pour d'autres, ils procèdent à des mues, qui permettent de renouveler le squelette rigide externe par un nouveau plus grand et plus mou. Pendant la période ou la carapace de l'animal est plus souple, il est plus vulnérable et va habituellement se cacher le temps que son nouveau squelette externe durcisse.

Comme le squelette des arthropodes est externe, et constitue donc une grande partie du poids total de l'animal, ils ne deviennent donc pas vraiment gros. Les plus grands arthropodes sont des animaux aquatiques qui profitent de l'effet d'apesanteur que leur fournit la vie aquatique.

Les animaux de la classe des arachnides

La classe des arachnides comprend des animaux invertébrés, dont les plus connus sont les araignées, les acariens et les scorpions.


La première des caractéristiques des arachnides c'est que ce sont des animaux dont le corps est formé de deux parties principales, le céphalothorax et l'abdomen.
La seconde est qu'ils ont quatre pairs de pattes. Les insectes ont un corps en trois parties et ont 3 pairs de pattes.

Les animaux de la classe des arachnides sont des arthropodes dont le thorax et la tête sont d'un seul morceau, nommé céphalothorax. L'abdomen est seulement segmenté pour quelques espèces, dont les scorpions.

Une autre caractéristique des arachnides, c'est qu'ils ont des chélicères, deux appendices buccaux qui sont utilisés par l'animal pour capturer ses proies. Dans le cas de l'araignée, ce sont ses crochets à venin.

Ce sont des animaux qui ne portent pas d'antennes et qui n'ont pas d'ailes pour voler comme les insectes. Même avec toutes ses différences, ils sont malgré tout souvent mépris pour des insectes.

Les arachnides les plus connus sont naturellement les araignées, environ 50 000 espèces, qu'on retrouve un peu partout dans le monde.

Pour l'alimentation, la majorité des arachnides sont des animaux insectivores. Leur nourriture est donc constituée en majorité d'insectes plus petits qu'eux, qu'ils capturent avec leurs pinces, leurs crochets, ou à l'aide d'un piège collant, dans le cas des araignées qui tissent des toiles.

Les animaux et insectes utiles

Les animaux et insectes sont partout autour de nous et sont nécessaires à la chaîne alimentaire. Ils ont ultimement tous une utilité et c'est de finir par nourrir un autre animal. Mais certains sont utiles pour la nature ou pour l'homme de façon directe ou indirecte.


Les animaux domestiques sont un bon exemple d'animaux utiles. Le cheval, les boeufs servaient à labourer les champs et désoucher. Les vaches donnent le lait et les poules les oeufs qui servent à une partie de notre alimentation et naturellement sont utiles et même nécessaires. Enlevez seulement les oeufs et vous éliminez énormément de recettes qui ne pourront plus être cuisinées.

D'autres animaux sont utiles sans êtres des animaux domestiques. La mouette est un oiseau qui mange tout ce qu'il voit. Elle mange tout ce qui peut être mangé que les humains jettent partout et participe à nettoyer une partie de la pollution que nous générons.

Certains insectes sont très utiles comme l'araignée, la mante religieuse car ils dévorent des quantités énormes d'insectes ce qui aide à contrôler leurs nombres. La coccinelle est carnivore et mange les pucerons qui s'attaquent à nos fleurs et d'autres petits insectes nuisibles. L'abeille est la productrice du miel et de la cire d'abeille, elle aide à la pollinisation des fleurs.

Les vers de terre sont importants pour le sol car ils mangent des bactéries et autres nutriments qui se trouvent dans le sol et leurs excréments enrichissent le sol. Les tunnels qu'ils font dans le sol aident à aérer et irriguer quand il pleut.

Certains animaux aquatiques sont utiles pour leur environnement comme la carpe, qui mange tout ce qui se trouve au fond de l'eau et ainsi élimine les excréments et autres rebus du sol marin.

La majorité des animaux ont une place et une utilité dans le règne animal. Les moustiques sont irritants pour nous, mais ils nourrissent énormément d'animaux qui ne survivraient pas sans la nourriture qu'ils constituent pour eux. Si les moustiques manquent, il y a moins de nourriture et il y aura donc moins de grenouilles par exemple. Moins de grenouilles veut dire moins d'animaux qui mangent des grenouilles et donc moins de ceux qui mangent ses animaux... et le tout se répercute et influence tout le règne animal.

Certains animaux domestiques comme le chat ont plus qu'une utilité comme chasser les rats, souris et autres rongeurs, ils sont des animaux de compagnie. L'animal de compagnie a souvent un effet thérapeutique sur les propriétaires car ils brisent la monotonie et devient souvent comme un membre de la famille. Les enfants aiment bien avoir un hamster ou une gerbille pour s'en occuper ou jouer.

Les animaux sont tous utiles à leur façon pour d'autres espèces, pour l'environnement ou pour l'équilibre de la chaîne alimentaire. Avant d'utiliser des pesticides, des pièges ou autres moyens pour les éliminer, l'utilisation d'un répulsif à insecte ou animal, peut vous aider à éloigner les animaux que vous considérez nuisibles, mais qui sont souvent utiles et même nécessaires pour bien d'autres animaux.

Les animaux de la ferme

Un animal de la ferme est un animal sauvage qui a été domestiqué pour son travail comme le cheval ou pour sa viande comme le cochon. Ils ont donc soit une utilité alimentaire ou servent à certaines taches. A moins d'en tirer un certain profit, l'homme ne garde pas d'animal qui ne lui est pas vraiment utile.


La majorité des animaux de la ferme servent à fournir de la nourriture à ses propriétaires. Il peut être lui même mangé, ou produire des aliments que nous consommons comme le lait ou les oeufs. Les abeilles sont cultivées pour le miel et la pollinisation des plantes que les fermiers cultivent.
Les cochons, boeufs, poulets, dindes et bien d'autres animaux ne sont élevés que pour leur viande, sauf si la bête sert à la reproduction. Ils sont nourris avec des graines, du foin et même des restes de table pour les engraisser. Une fois qu'ils ont atteint leur grosseur optimale, donc que le grain qu'ils consomment ne produit plus autant de viande et donc devient plus coûteux, ils sont abattus et servent de repas.

La majorité des volatiles de la ferme ne servent que pour leur viande. Mais d'autres seront utiles seulement pour le travail, comme le cheval qui peut être mangé, mais est vraiment plus utile pour le transport ou le labourage des champs. Les boeufs aussi pouvaient servir aux travaux durs comme le labourage et le désoucheage. Si un animal travaille trop, sa viande devient plus dure et donc moins appréciable.

Le chien est domestique mais très utilisé par les fermiers et gardiens de moutons par exemple. Il est un bon gardien de troupeau et va chasser les intrus de grosseur raisonnable comme un renard ou un raton laveur, certains vont même faire face à un ours. Le chat est naturellement utilisé pour chasser les rongeurs et autres petits animaux indésirables.

Le porc, qui est aussi appelé cochon, est en fait un animal très propre, il va toujours se tenir le plus loin de sa nourriture pour faire ses excréments. La viande de porc est excellente et son cuir est aussi très utile. Il mange de tout et devient très gros, fournissant une bonne quantité de viande, de gras et de cuir.

Certains animaux de la ferme servent presque exclusivement de reproducteur. Le coq est un exemple, malgré qu'il puisse finir dans la casserole, mais un imposant taureau ou un étalon vont souvent servir principalement à la reproduction.

Les animaux de la ferme ont tous une utilité pour le fermier. Pour le travail, la nourriture ou pour la chasse d'autres animaux nuisibles, ils ont tous leur rôle et rendent service à leur propriétaire. Les animaux de la ferme étaient tous des animaux sauvages qui ont été domestiqués pour nous servir.

Les animaux à sang froid


L'animal à sang froid ne contrôle pas sa température corporelle

Les animaux à sang froid, ou poïkilotherme, ne peuvent pas contrôler leur température interne par eux-mêmes, et sont donc à la merci de la température ambiante. Certains doivent se réchauffer une fois le jour venu, afin de reprendre leur activité normale.


L'animal à sang froid peut donc supporter des variations de température de son corps, sans souffrir ou mourir d'hypothermie. Quand sa température descend, son activité physiologique ralentie, comme la vitesse des pulsions cardiaques. Sa demande en énergie est donc réduite et si il n'est plus actif, il pourra survivre sur ses réserves d'énergie plus longtemps.
Comme ils ne peuvent pas régulariser leur température, par la sueur ou les tremblements, ils se servent des éléments qui les entourent pour obtenir une température corporelle stable. Une fois que la température du corps est appropriée, l'animal peut vaquer à ses occupations normalement.

Un animal ectotherme est un animal dont la chaleur est obtenue par des moyens externes, comme l'alligator. C'est pourquoi bien des animaux à sang froid vont utiliser le soleil pour se réchauffer une fois la nuit froide passée. Ils sont donc souvent ectothermes, mais des animaux à sang chaud le sont aussi.

Comme l'environnement sert à régulariser la chaleur du corps, l'animal à sang froid va donc utiliser le soleil pour se chauffer, les poissons ajustent leur profondeur selon la température de l'eau. Les insectes du désert se cachent sous le sable ou utilisent la friction des ailes ou autres membres pour se réchauffer la nuit. Les papillons sont attirés par la lumière, mais ils aiment aussi la chaleur qu'elle produit.

Quand la température descend trop, les animaux à sang froid deviennent léthargiques et cela les rend vulnérables. C'est pourquoi ils vont habituellement se cacher pour ne pas devenir une proie trop facile pour les prédateurs. La grenouille va se cacher sous une roche, une souche ou autre objet sous lequel elle peut s'insérer. Si le froid dure longtemps, comme pour la période d'hiver, l'activité des organes sera tellement ralentie, qu'une fois le printemps venu, le batracien reprend son activité comme si tout était normal.

C'est donc un avantage, car quand le milieu devient plus froid, l'animal n'est pas en risque d'hypothermie. Cependant, quand il est en état de léthargie causée par le froid, l'animal est une proie très facile à capturer. Si l'habitat où ils vivent devient plus froid en permanence, une race d'animaux à sang froid peut facilement disparaître.

C'est pourquoi quand on fait l'observation de petits animaux, comme les salamandres ou les crapauds, il est important de les remettre ou on les trouve. Si on déplace l'animal et que son métabolisme est au ralenti, il est possible qu'il ne soit pas capable de retourner se cacher une fois vos observations terminées. Les animaux à sang froid sont très sensibles à leur environnement qui a une influence directe sur eux.

L'animal à sang chaud doit contrôler sa température corporelle

Les animaux à sang chaud, ou homéotherme, contrôlent la température interne de leurs corps par des systèmes de régularisation comme la sueur, les tremblements... Comme la température de son corps doit rester stable, contrairement aux animaux à sang froid, il peut devenir la victime de son environnement.


L'animal à sang chaud peut, jusqu'à une certaine limite, contrôler les variations de température de son corps pour le garder dans une limite acceptable. Si il ne parvient pas à augmenter sa température au-dessus de son besoin minimal, l'animal va souffrir d'hypothermie, qui est une perte trop grande de chaleur du corps. A l'inverse, si l'animal surchauffe parce qu'il ne peut pas évacuer l'excès de chaleur qu'il a accumulé, on parle d'hyperthermie, qu'on appelle un coup de chaleur ou de la fièvre selon la cause.
Quand la température d'un animal descend, son activité physiologique doit augmenter pour produire de la chaleur et compenser la perte qu'il subit. Les frissons et tremblements qu'on a quand on a froid est ce mécanisme de régulation de la température interne qui fait travailler les muscles pour produire de la chaleur.

Plusieurs moyens servent à produire de la chaleur pour le corps. L'activité musculaire et la digestion sont des moyens de produire de la chaleur, mais la conserver est aussi très important. La fourrure, les poils, les plumes... servent d'isolant pour le corps et limitent les variations que cause l'environnement extérieur. L'accumulation de graisse est une autre protection contre la perte de chaleur. Le volume d'un animal va aussi jouer en sa faveur, car la surface du corps est souvent moins grande comparé à sa masse à mesure que l'animal prend du volume.

Naturellement, les techniques des animaux ectothermes servent aussi à garder une température constante. C'est pourquoi bien des animaux à sang chaud vont utiliser le soleil pour se réchauffer, ou l'ombre pour se refroidir. Une baignade dans l'eau froide, va comme le soleil, aider à garder une température corporelle constante.

Quand la température monte trop, il faut que l'animal évacue de la chaleur, ou il va dépérir jusqu'à en mourir. Suer est un système qui permet de faire descendre la température du corps pour éviter un coup de chaleur. Un chien ne sue pas, il va donc faire entrer de l'air frais, et expirer l'air réchauffé par son corps pour réduire sa température. Certains oiseaux utilisent leur bec très vascularisé pour évacuer la chaleur. Le flux sanguin peut être augmenté ou réduit pour conserver ou dissiper la chaleur.

Comme l'environnement influence directement la vie d'un animal homéotherme, il est souvent restreint dans son choix de région pour y vivre. Par exemple, un ours polaire ne survivrait pas à l'équateur, car il y fait trop chaud pour son métabolisme conditionné pour les grands froids. La même chose pour les animaux tropicaux qui ne peuvent pas survivre au froid. Les oiseaux et les mammifères sont des animaux à sang chaud qui sont donc limités à leur milieu. C'est par notre capacité de faire des vêtements et de pouvoir se protéger qu'on est présent partout sur le globe.